Emmanuel Macron. Photo (c) Official LeWeb Photos
"Quand on participe, je préfère gagner", telle est la philosophie de vie de Emmanuel Macron. Pour le jeune politicien, le sport bien plus qu’une activité physique est une opportunité d’émancipation, de découverte et de dépassement de soi. Ses premières semaines à l’Élysée en témoignent.
Lei 24 juin 2017, à l’occasion des journées olympiques organisées pour la promotion de la candidature aux JO 2024, le président s’est investi. Après un échange de quelques balles de tennis avec Marion Bartoli, Lucas Pouille, Michaël Jeremiasz et Fabrice Santoro, il s’est essayé au tennis-fauteuil. Et sa participation ne s’arrête pas là. Ancien boxeur, c’est avec envie que Emmanuel Macron a une fois de plus tombé la veste pour livrer une initiation de boxe aux côtés de Samir Machrouh.
Lei 24 juin 2017, à l’occasion des journées olympiques organisées pour la promotion de la candidature aux JO 2024, le président s’est investi. Après un échange de quelques balles de tennis avec Marion Bartoli, Lucas Pouille, Michaël Jeremiasz et Fabrice Santoro, il s’est essayé au tennis-fauteuil. Et sa participation ne s’arrête pas là. Ancien boxeur, c’est avec envie que Emmanuel Macron a une fois de plus tombé la veste pour livrer une initiation de boxe aux côtés de Samir Machrouh.
Vers une redynamisation du sport français?
Aujourd’hui pleinement investi dans la vie sportive française, Emmanuel Macron prévoyaient des objectifs musclés pour le sport dans son plan de campagne. Véritable aubaine pour l’économie, l’ancien ministre soulignait d’ores et déjà le caractère "extraordinaire" des JO 2024.
Autre ambition phare, la croissance du nombre de pratiquants. Amateurs, pratiquants professionnels, personnes à mobilité réduite, il s’agit pour la France d’augmenter de 3 millions le nombre actuel. L'enjeu primordial? Le sport professionnel. Pour le président de 39 ans, il faut se permettre "d’attirer les meilleurs, d’obtenir l’organisation des grandes compétitions" et pour se faire, c’est les actions au niveau européen qu’il compte privilégier.
Autre ambition phare, la croissance du nombre de pratiquants. Amateurs, pratiquants professionnels, personnes à mobilité réduite, il s’agit pour la France d’augmenter de 3 millions le nombre actuel. L'enjeu primordial? Le sport professionnel. Pour le président de 39 ans, il faut se permettre "d’attirer les meilleurs, d’obtenir l’organisation des grandes compétitions" et pour se faire, c’est les actions au niveau européen qu’il compte privilégier.