Soviet Suprem choisit de tourner son regard vers l'est, c'est l'association déjantée de R-wan du groupe Java et de Toma de La caravane passe. Ils sont issus tous les deux de l'est parisien, ils branchent des micros à la maison et posent un flow improvisé tous les deux afin de trouver la répartition des voix. Un cocktail politico-musical qui fait son effet partout où ils se produisent.
"La politique, on s’en sert comme une figure de style. On a surtout imaginé une musique qui envoie sur scène à la manière d’un gros show. L’imagerie soviétique, on l’aborde avec une espèce de romantisme, de façon artistique", dit Toma.
Ces délirants soviets prônent le rassemblement des peuples, l'union des amateurs de musiques festives et la révolution du dancefloor. Un programme teinté d’humour au troisième degré qui joue sur les codes de la guerre froide avec pour personnages principaux Sylvester Staline et John Lénine.
"La politique, on s’en sert comme une figure de style. On a surtout imaginé une musique qui envoie sur scène à la manière d’un gros show. L’imagerie soviétique, on l’aborde avec une espèce de romantisme, de façon artistique", dit Toma.
Ces délirants soviets prônent le rassemblement des peuples, l'union des amateurs de musiques festives et la révolution du dancefloor. Un programme teinté d’humour au troisième degré qui joue sur les codes de la guerre froide avec pour personnages principaux Sylvester Staline et John Lénine.