Les preuves s’accumulent qui indiquent que des troupes et des civils armés appartenant aux deux principales communautés du Soudan du Sud, les Dinka et les Nuer, tuent des civils de manière ciblée en fonction de leur origine ethnique.
Trois soldats de maintien de la paix de l’ONU auraient également été assassinés le 19 décembre lorsque des jeunes Nuer armés ont donné l’assaut contre une base de casques bleus qui abritait des civils Dinka, à Akobo, dans l’État de Jonglei.
"Les attaques contre des civils qui cherchent à se mettre à l’abri des combats sont une évolution très inquiétante de ce conflit de plus en plus brutal. Le fait que ces attaques soient menées par des jeunes armés semble indiquer que ce conflit n’est plus seulement un combat entre des soldats, mais dégénère en violences inter-communautaires", a indiqué Netsanet Belay, directeur du programme Afrique d’Amnesty International.
Les combats ont éclaté dans Juba, la capitale, le 15 décembre et se sont étendus à d’autres régions du pays.
Trois soldats de maintien de la paix de l’ONU auraient également été assassinés le 19 décembre lorsque des jeunes Nuer armés ont donné l’assaut contre une base de casques bleus qui abritait des civils Dinka, à Akobo, dans l’État de Jonglei.
"Les attaques contre des civils qui cherchent à se mettre à l’abri des combats sont une évolution très inquiétante de ce conflit de plus en plus brutal. Le fait que ces attaques soient menées par des jeunes armés semble indiquer que ce conflit n’est plus seulement un combat entre des soldats, mais dégénère en violences inter-communautaires", a indiqué Netsanet Belay, directeur du programme Afrique d’Amnesty International.
Les combats ont éclaté dans Juba, la capitale, le 15 décembre et se sont étendus à d’autres régions du pays.