L’organisation demande que ces charges soient abandonnées sans délai ni condition.
"Encore une fois, les autorités soudanaises exploitent leur système judiciaire afin de harceler et de menacer des militants", a déploré Sarah Jackson, directrice adjointe du programme Afrique d’Amnesty International.
"Encore une fois, les autorités soudanaises exploitent leur système judiciaire afin de harceler et de menacer des militants", a déploré Sarah Jackson, directrice adjointe du programme Afrique d’Amnesty International.