Après le boum, le flop, Sophie la girafe peut rester la compagne 'machouillée' par tous les bambins
Après avoir gagné en novembre un procès en Allemagne contre le magazine de consommateurs Ökotest, le fabriquant est pris en relais par Que Choisir qui dans son étude d'ailleurs implique d'autres jouets célèbres. La société Vulli, dans un communiqué diffusé ce mercredi, assure que "tous les rapports d'analyses effectués, tous, attestent de cette conformité. Il est vrai qu'il apparaît des traces de nitrosamines qui proviennent de la vulcanisation de la sève de l'hévéa par le procédé de rotomoulage. Cependant, ces traces sont très faibles et en dessous de l'exigence des normes européennes, elles ne remettent en aucun cas en cause la conformité du jouet préféré de bébé, Sophie la Girafe. Dans une optique de constante amélioration, Vulli a mis en œuvre un programme de modification de sa fabrication afin d'obtenir un résultat de "zéro trace"..."
Serge Jacquemier, directeur général délégué de Vulli affirme: "Sur 50 millions de girafes vendues en France depuis sa création, nous n'avons jamais eu aucun problème. Nous dépensons des sommes inimaginables pour la sécurité de nos produits. En 2010, nous avons déboursé 362.000 euros en frais de certification. Car chaque lot de fabrication de Sophie la Girafe est testé par des laboratoires agréés - la DGCCRF pour la France - qui nous certifient que le produit est bon pour la consommation". Toutefois, le directeur ajoute: "On ne peut pas rendre conforme Sophie la Girafe à des normes que nous ne connaissons pas encore. Nous sommes tout à fait d'accord avec l'évolution des normes. Mais faisons des règles qui marchent et n'inversons pas les responsabilités. Dites-nous comment être conformes et on le sera. Les taux réglementaires de nitrosamines sont en constante modification, et suivent la capacité des laboratoires à les détecter."
Rappelons que la "girafe couineuse" est encore l'un des rares jouets à être produits en France, faite à base de caoutchouc issu de la sève d'hévéa 100 % naturelle.
Serge Jacquemier, directeur général délégué de Vulli affirme: "Sur 50 millions de girafes vendues en France depuis sa création, nous n'avons jamais eu aucun problème. Nous dépensons des sommes inimaginables pour la sécurité de nos produits. En 2010, nous avons déboursé 362.000 euros en frais de certification. Car chaque lot de fabrication de Sophie la Girafe est testé par des laboratoires agréés - la DGCCRF pour la France - qui nous certifient que le produit est bon pour la consommation". Toutefois, le directeur ajoute: "On ne peut pas rendre conforme Sophie la Girafe à des normes que nous ne connaissons pas encore. Nous sommes tout à fait d'accord avec l'évolution des normes. Mais faisons des règles qui marchent et n'inversons pas les responsabilités. Dites-nous comment être conformes et on le sera. Les taux réglementaires de nitrosamines sont en constante modification, et suivent la capacité des laboratoires à les détecter."
Rappelons que la "girafe couineuse" est encore l'un des rares jouets à être produits en France, faite à base de caoutchouc issu de la sève d'hévéa 100 % naturelle.