Suite au grave accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima Dai-chi au Japon, l'AIEA s'est sérieusement penchée sur les mesures à prendre afin d'améliorer la sécurité des sites nucléaires. Lors de cette conférence, l'AIEA a également abordé le sujet concernant les planifications nucléaires contestées de Corée du Nord, de Syrie ou encore d'Iran.
Yukiya Amano, le directeur général de l'AIEA a exprimé aux 35 gouverneurs qui ont assisté à la conférence, son programme d'amélioration de la sûreté des centrales nucléaires du monde entier. L'une de ses idées était d'envoyer, par le biais et la protection de l'ONU, des experts internationaux visiter les sites nucléaires afin de renforcer les premiers examens nationaux de chaque pays.
Cette 55e conférence générale de l'AIEA a également abordé le sujet, "plus classique" de l'Iran car l'agence y travaille déjà depuis 8 ans. Selon Isabelle Le Page Iran Focus, les grandes puissances craignent "que ce programme - poursuivant uniquement des objectifs civils, selon la République islamique - ne dissimule des visées militaires et imposent depuis 2007 des sanctions de plus en plus sévères à l'Iran".
Les pays arabes, quant à eux, ont exprimé leur mécontentement face à la politique nucléaire israélienne qui est, d'après plusieurs représentants de ces pays, "le seul pays de la région à refuser de ratifier le Traité de non-prolifération des armes nucléaires, (TNP)".
Yukiya Amano, le directeur général de l'AIEA a exprimé aux 35 gouverneurs qui ont assisté à la conférence, son programme d'amélioration de la sûreté des centrales nucléaires du monde entier. L'une de ses idées était d'envoyer, par le biais et la protection de l'ONU, des experts internationaux visiter les sites nucléaires afin de renforcer les premiers examens nationaux de chaque pays.
Cette 55e conférence générale de l'AIEA a également abordé le sujet, "plus classique" de l'Iran car l'agence y travaille déjà depuis 8 ans. Selon Isabelle Le Page Iran Focus, les grandes puissances craignent "que ce programme - poursuivant uniquement des objectifs civils, selon la République islamique - ne dissimule des visées militaires et imposent depuis 2007 des sanctions de plus en plus sévères à l'Iran".
Les pays arabes, quant à eux, ont exprimé leur mécontentement face à la politique nucléaire israélienne qui est, d'après plusieurs représentants de ces pays, "le seul pays de la région à refuser de ratifier le Traité de non-prolifération des armes nucléaires, (TNP)".