Photo (c) Peter Halasz
En 2017, c’était le nestor kéa qui était mis en lumière, une des dix espèces de perroquets endémiques du pays et le seul perroquet de montagne du monde.
Cette année, c’est le kereru ou carpophage de Nouvelle-Zélande, qui a été mis à l’honneur avec 5.833 votes, loin devant son concurrent le kakapo ou perroquet-hibou.
Le kereru est un parent du pigeon ramier européen mais ce pigeon sauvage a une particularité, il lui arrive de s’enivrer et d’avoir alors d’étranges comportements… Comment en arrive-t-il à ces débordements qui peuvent être dangereux? Il consomme tout simplement des fruits fermentés, surtout ceux d’un conifère, le prumnopitys ferruginea appelé communément miro. Ensuite il ne se contrôle plus… On le voit se livrer alors à une gesticulation surprenante, il titube, tombe des branches, se cogne aux vitres. Et parfois, certains refuges transformés en véritables cellules de dégrisement, les recueillent jusqu’à ce qu’ils retrouvent leur état normal…
Cette année, c’est le kereru ou carpophage de Nouvelle-Zélande, qui a été mis à l’honneur avec 5.833 votes, loin devant son concurrent le kakapo ou perroquet-hibou.
Le kereru est un parent du pigeon ramier européen mais ce pigeon sauvage a une particularité, il lui arrive de s’enivrer et d’avoir alors d’étranges comportements… Comment en arrive-t-il à ces débordements qui peuvent être dangereux? Il consomme tout simplement des fruits fermentés, surtout ceux d’un conifère, le prumnopitys ferruginea appelé communément miro. Ensuite il ne se contrôle plus… On le voit se livrer alors à une gesticulation surprenante, il titube, tombe des branches, se cogne aux vitres. Et parfois, certains refuges transformés en véritables cellules de dégrisement, les recueillent jusqu’à ce qu’ils retrouvent leur état normal…