www.panafalger2009.dz
Tout d’abord, Alger, la capitale de la République algérienne démocratique et populaire s’organise pour recevoir, en juillet prochain, plus de 5 000 hôtes en provenance des quatre coins du continent et de la planète, pour célébrer ce que Francophones, Anglophones, Lusophones et Arabophones d’Afrique partagent et partageront toujours ensemble: un lien culturel inaltérable, qui souligne une identité globale, propre. Après quarante ans, la deuxième édition du Festival culturel panafricain d’Alger (la Panaf) devrait, enfin, redonner à ce continent malade de ses contradictions et de ses guéguerres malsaines – enfin, je l’espère! – une raison supplémentaire de repenser son unité, à travers le prisme saisissant de ses multiples facettes culturelles, aussi riches les unes que les autres.
Je suis fondé à croire que l’année 2009, qui consacre le quarantième anniversaire du Fespaco, temple incontournable du cinéma africain, avec ses insuffisances, ses faiblesses et ses forces, restera aussi, a posteriori, l’année de la renaissance culturelle du continent. Je le crois d’autant plus qu’après des années de tergiversations, de reports et de doute, le troisième Festival mondial des arts nègres (Fesman III) se tiendra enfin en décembre, à Dakar, capitale du Sénégal. L’enthousiasme quasi-général, que j’ai pu lire sur les visages et dans les propos des uns et des autres, à la faveur du lancement, le 1er mars 2009, des rencontres préparatoires de ce grand rendez-vous de l’universel, m’inclinent à cet optimisme de bon aloi qui devrait sanctionner, chez nous, les faits et les gestes dignes d’intérêt et porteurs d’espoir.
En ces temps troublés où la politique tient le pavé de la déception générale et où l’économie caracole en tête des hit-parade de l’incertitude, il est bon, je crois, que l’on se cramponne, à nouveau sur l’essence même de notre être, sur nos cultures, riches, vivantes et généreuses, pour tracer les sillons d’une aube véritablement nouvelle, plus radieuse, parce que plus intégrée à nos valeurs, us et coutumes…
Je suis fondé à croire que l’année 2009, qui consacre le quarantième anniversaire du Fespaco, temple incontournable du cinéma africain, avec ses insuffisances, ses faiblesses et ses forces, restera aussi, a posteriori, l’année de la renaissance culturelle du continent. Je le crois d’autant plus qu’après des années de tergiversations, de reports et de doute, le troisième Festival mondial des arts nègres (Fesman III) se tiendra enfin en décembre, à Dakar, capitale du Sénégal. L’enthousiasme quasi-général, que j’ai pu lire sur les visages et dans les propos des uns et des autres, à la faveur du lancement, le 1er mars 2009, des rencontres préparatoires de ce grand rendez-vous de l’universel, m’inclinent à cet optimisme de bon aloi qui devrait sanctionner, chez nous, les faits et les gestes dignes d’intérêt et porteurs d’espoir.
En ces temps troublés où la politique tient le pavé de la déception générale et où l’économie caracole en tête des hit-parade de l’incertitude, il est bon, je crois, que l’on se cramponne, à nouveau sur l’essence même de notre être, sur nos cultures, riches, vivantes et généreuses, pour tracer les sillons d’une aube véritablement nouvelle, plus radieuse, parce que plus intégrée à nos valeurs, us et coutumes…