La capitale des émirats Arabes Unis (EAU), Abu Dhabi, a accueilli le Sommet énergétique sur l'avenir du monde (WFES), réunissant des experts internationaux afin d'examiner des solutions "aux problèmes que pose un monde dépendant de plus en plus d'une énergie à base de carbone".
Le WFES s’est établi comme l’un des événements mondiaux les plus importants dans le domaine des énergies avancées et renouvelables. Les opportunités commerciales offertes au WFES 2010 sont très grandes .Cette 3ème édition de ce sommet accueille le plus grand nombre d’experts de la communauté des énergies du futur, dont des décideurs importants du secteur public et privé, des investisseurs importants, des chercheurs et des figures universitaires de renom .
Pour la première fois, l’Australie, l’Indonésie, la Malaisie, la Grèce, la Turquie, la République tchèque et l’Afrique du Sud aussi ont participé au sommet.
L'Émirat Arabes Unis, confronté aux problèmes liés à sa situation géographique - l'eau est rare et la chaleur extrême nécessite l'usage des appareils d'air conditionné, très gourmands en électricité - devra aussi trouver les moyens viables pour les énergies renouvelables se substituant aux énergies pétrolières. "Abu Dhabi se développera rapidement lors des dix prochaines années, et nous devons nous occuper de cela en faisant bien attention non seulement à notre propre utilisation efficace de l'énergie, mais aussi à ce que cela signifie pour l'environnement alentours. Ces codes attestent vraiment de cela", a déclaré SE Rashid Al Hajeri, Président du Département des Affaires Municipales.
SAS le Prince Albert II Monaco, connu pour son engagement écologique, a également participé à cette 3e édition; jeudi 21 janvier, il a prononcé un discours pour souligner l’urgence de trouver une solution à la crise énergétique: "notre premier défi est de permettre l’avènement d’une énergie propre et peu onéreuse et en quantité suffisante pour servir à tous. (...) S’il appartient aux chercheurs d’imaginer l’énergie du futur, il appartient aussi aux chefs d’entreprises de relever le défi d’invention qui leur est posé, de prendre les risques qui s’imposent et qui feront les succès industriels de demain. Et il appartient enfin aux politiques de créer les conditions favorables à l’innovation, de promouvoir la recherche et d’inciter à l’utilisation d’énergies nouvelles, en particulier par des aides permettant d’améliorer leur compétitivité par rapport aux énergies fossiles."
Le WFES s’est établi comme l’un des événements mondiaux les plus importants dans le domaine des énergies avancées et renouvelables. Les opportunités commerciales offertes au WFES 2010 sont très grandes .Cette 3ème édition de ce sommet accueille le plus grand nombre d’experts de la communauté des énergies du futur, dont des décideurs importants du secteur public et privé, des investisseurs importants, des chercheurs et des figures universitaires de renom .
Pour la première fois, l’Australie, l’Indonésie, la Malaisie, la Grèce, la Turquie, la République tchèque et l’Afrique du Sud aussi ont participé au sommet.
L'Émirat Arabes Unis, confronté aux problèmes liés à sa situation géographique - l'eau est rare et la chaleur extrême nécessite l'usage des appareils d'air conditionné, très gourmands en électricité - devra aussi trouver les moyens viables pour les énergies renouvelables se substituant aux énergies pétrolières. "Abu Dhabi se développera rapidement lors des dix prochaines années, et nous devons nous occuper de cela en faisant bien attention non seulement à notre propre utilisation efficace de l'énergie, mais aussi à ce que cela signifie pour l'environnement alentours. Ces codes attestent vraiment de cela", a déclaré SE Rashid Al Hajeri, Président du Département des Affaires Municipales.
SAS le Prince Albert II Monaco, connu pour son engagement écologique, a également participé à cette 3e édition; jeudi 21 janvier, il a prononcé un discours pour souligner l’urgence de trouver une solution à la crise énergétique: "notre premier défi est de permettre l’avènement d’une énergie propre et peu onéreuse et en quantité suffisante pour servir à tous. (...) S’il appartient aux chercheurs d’imaginer l’énergie du futur, il appartient aussi aux chefs d’entreprises de relever le défi d’invention qui leur est posé, de prendre les risques qui s’imposent et qui feront les succès industriels de demain. Et il appartient enfin aux politiques de créer les conditions favorables à l’innovation, de promouvoir la recherche et d’inciter à l’utilisation d’énergies nouvelles, en particulier par des aides permettant d’améliorer leur compétitivité par rapport aux énergies fossiles."