Victoire Ingabire, dirigeante de l’opposition rwandaise, doit pouvoir bénéficier d’une procédure d’appel conforme aux normes internationales en matière d'équité des procès, après avoir été déclarée coupable et condamnée à une peine de huit ans d’emprisonnement en octobre 2012, écrit Amnesty International dans un nouveau rapport rendu public lundi 25 mars 2013.
Son procès en appel doit remédier à un certain nombre de problèmes ayant émaillé la procédure initiale, ainsi que l’explique le rapport intitulé "Rwanda. La justice mise à mal: le procès en première instance de Victoire Ingabire".
"Le procès en première instance de Victoire Ingabire a été entaché d’irrégularités, et les normes internationales ont été bafouées", a déclaré Sarah Jackson, directrice adjointe par intérim du programme Afrique d’Amnesty International.
Son procès en appel doit remédier à un certain nombre de problèmes ayant émaillé la procédure initiale, ainsi que l’explique le rapport intitulé "Rwanda. La justice mise à mal: le procès en première instance de Victoire Ingabire".
"Le procès en première instance de Victoire Ingabire a été entaché d’irrégularités, et les normes internationales ont été bafouées", a déclaré Sarah Jackson, directrice adjointe par intérim du programme Afrique d’Amnesty International.