Les 11 hommes ont été tués lors d’un affrontement armé intervenu à Grozny le 4 décembre, au cours duquel 14 membres des forces de l’ordre ont également trouvé la mort. Un civil au moins figurerait aussi parmi les victimes.
Le lendemain de l’attaque, le président de la République tchétchène, Ramzan Kadyrov, avait déclaré que les familles des membres du groupe armé seraient expulsées de Tchétchénie, et que leurs maisons seraient démolies.
"Punir les proches de personnes soupçonnées d’un crime ou d’un délit est une violation flagrante du droit international. Rien ne saurait justifier des actes de punition collective. Les autorités fédérales doivent faire en sorte qu’une enquête indépendante et impartiale soit menée sur l’incendie de ces maisons, et déférer à la justice les responsables présumés", a déclaré John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International.
Le lendemain de l’attaque, le président de la République tchétchène, Ramzan Kadyrov, avait déclaré que les familles des membres du groupe armé seraient expulsées de Tchétchénie, et que leurs maisons seraient démolies.
"Punir les proches de personnes soupçonnées d’un crime ou d’un délit est une violation flagrante du droit international. Rien ne saurait justifier des actes de punition collective. Les autorités fédérales doivent faire en sorte qu’une enquête indépendante et impartiale soit menée sur l’incendie de ces maisons, et déférer à la justice les responsables présumés", a déclaré John Dalhuisen, directeur du programme Europe et Asie centrale d’Amnesty International.