Les autorités russes doivent immédiatement ouvrir une information judiciaire indépendante et impartiale sur l’agression préméditée, et qui manifestement ne répondait à aucune forme de provocation, dont des militants des droits humains ont été victimes le jeudi 6 mars au matin à Nijni Novgorod, a déclaré Amnesty International. Parmi eux se trouvaient Nadejda Tolokonnikova et Maria Alekhina, anciennes membres des Pussy Riot.
"De l’avis général, cette attaque semble avoir été préméditée par un groupe organisé. Les agresseurs, qui n’ont pas été identifiés, criaient des slogans, brandissaient une pancarte et ont filmé toute la scène", a dit Sergueï Nikitine, directeur du bureau d’Amnesty International à Moscou.
"De l’avis général, cette attaque semble avoir été préméditée par un groupe organisé. Les agresseurs, qui n’ont pas été identifiés, criaient des slogans, brandissaient une pancarte et ont filmé toute la scène", a dit Sergueï Nikitine, directeur du bureau d’Amnesty International à Moscou.