L’Investigatory Powers Tribunal (IPT) a informé Amnesty International que son jugement du 22 juin avait mal identifié l’une des deux ONG ayant fait l’objet d’une surveillance illégale par les autorités britanniques selon ses conclusions. Ce message indique clairement que c’est Amnesty International Ltd, et non l’Initiative égyptienne pour les droits de la personne (EIPR), qui a été espionnée en plus du Legal Resources Centre d’Afrique du Sud.
Ces ONG figurent parmi 10 organisations qui ont formé un recours judiciaire contre la surveillance de masse présumée de leurs activités par les services de renseignement du Royaume-Uni.
"18 mois de procédure et tous les démentis et subterfuges qui les ont accompagnés, nous avons maintenant confirmation que nous avons bien été soumis à une surveillance de masse par le gouvernement britannique. Il est inadmissible qu’une pratique souvent présentée comme réservée aux despotes ait été employée sur le sol britannique, par les autorités du Royaume-Uni", a déclaré Salil Shetty, secrétaire général d’Amnesty International.
Ces ONG figurent parmi 10 organisations qui ont formé un recours judiciaire contre la surveillance de masse présumée de leurs activités par les services de renseignement du Royaume-Uni.
"18 mois de procédure et tous les démentis et subterfuges qui les ont accompagnés, nous avons maintenant confirmation que nous avons bien été soumis à une surveillance de masse par le gouvernement britannique. Il est inadmissible qu’une pratique souvent présentée comme réservée aux despotes ait été employée sur le sol britannique, par les autorités du Royaume-Uni", a déclaré Salil Shetty, secrétaire général d’Amnesty International.