Ces personnes doivent, au contraire, être traduites en justice dans le cadre de procès équitables à l’issue desquels elles n’encourront pas la peine de mort.
"Les autorités transitionnelles de Centrafrique doivent veiller à ce que les changements dans la composition du gouvernement ne débouchent pas sur une situation dans laquelle les nouveaux membres du gouvernement se serviraient de leur position pour commettre de nouvelles violations des droits humains ou pour empêcher que des enquêtes efficaces soient menées contre eux-mêmes ou leurs alliés", a déclaré Christian Mukosa, spécialiste de la République centrafricaine au sein d’Amnesty International.
Amnesty International a reçu des informations dignes de foi indiquant que des personnes soupçonnées de graves atteintes aux droits humains tentent d’obtenir un poste au sein du nouveau gouvernement.
"Les autorités transitionnelles de Centrafrique doivent veiller à ce que les changements dans la composition du gouvernement ne débouchent pas sur une situation dans laquelle les nouveaux membres du gouvernement se serviraient de leur position pour commettre de nouvelles violations des droits humains ou pour empêcher que des enquêtes efficaces soient menées contre eux-mêmes ou leurs alliés", a déclaré Christian Mukosa, spécialiste de la République centrafricaine au sein d’Amnesty International.
Amnesty International a reçu des informations dignes de foi indiquant que des personnes soupçonnées de graves atteintes aux droits humains tentent d’obtenir un poste au sein du nouveau gouvernement.