Intitulé "République centrafricaine. L’impunité alimente la violence", ce document issu d’une mission effectuée en République centrafricaine par des chercheurs d’Amnesty International donne des précisions sur la manière dont certains dirigeants et membres de groupes armés ont persisté à commettre des atrocités et à défier l’état de droit. Pourtant, en juillet dernier, Amnesty International a révélé des éléments qui donnent des motifs raisonnables de penser que plusieurs d’entre eux sont impliqués dans de graves atteintes aux droits humains, y compris des crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
"Dès lors que l’on n’oblige pas à rendre des comptes certaines personnes impliquées dans l’homicide de civils, le recours à des enfants soldats et les incendies de villages, cela veut dire que les responsables de ces actes restent en liberté et continuent à terroriser la population sans craindre de répercussions", a déclaré Steve Cockburn, directeur régional adjoint d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale.
"Dès lors que l’on n’oblige pas à rendre des comptes certaines personnes impliquées dans l’homicide de civils, le recours à des enfants soldats et les incendies de villages, cela veut dire que les responsables de ces actes restent en liberté et continuent à terroriser la population sans craindre de répercussions", a déclaré Steve Cockburn, directeur régional adjoint d’Amnesty International pour l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale.