En effet parmi les mesures annoncées par le Premier Ministre, la suppression des panneaux avertissant les automobilistes de la survenance imminente d’un radar fixe suscite de vives polémiques. Cette mesure répond à la volonté émise par le Président de la République consistant dans la réduction à moins de 3000 personnes tuées annuellement sur les routes de France. Cet objectif est également conforté par la constatation d’un relâchement de la part des automobilistes conformément aux statistiques publiées par les compagnies d’assurance automobile présentes sur le marché de l’assurance automobile. A cet égard, il convient de remarquer le lien existant entre l’augmentation récente des cotisations permettant d’acquitter son contrat d’assurance automobile et le retour à la hausse des statistiques de mortalité routière. Cette question n’est malgré tout pas centrée sur l’assurance automobile mais interroge plus globalement sur la cohabitation routière entre tous les usagers sur le territoire hexagonal.
En outre, cette thématique est emprunte d’une certaine polémique récurrente au regard de sa sensibilité notamment financière puisque les procès-verbaux sont ponctuées d’amendes financières souvent difficilement acceptées par les automobilistes. Dès lors, nous sommes en présence d’une polémique globale assez désastreuse pour une cause qui devrait susciter une certaine forme de consensus. D’une part, les associations d’automobilistes contestent ouvertement ce dispositif qui tend d’après elles à privilégier la rentabilité routière à la prévention routière. Elles invitent les pouvoirs publics à privilégier la pédagogie à la répression. D’autre part, une fronde d’une rare puissante est menée par les Députés de l’UMP ce qui paraît d’ailleurs assez surprenant. Ils se font toutefois l’écho du ressenti des citoyens qu’ils rencontrent quotidiennement dans leurs circonscription. Malgré tout à l’occasion du Conseil des Ministres de ce matin, Nicolas Sarkozy s’est montré ferme en insistant sur la nécessité d’être un homme d’Etat avant d’être un homme politique.
Source: www.autos-assurances.com
En outre, cette thématique est emprunte d’une certaine polémique récurrente au regard de sa sensibilité notamment financière puisque les procès-verbaux sont ponctuées d’amendes financières souvent difficilement acceptées par les automobilistes. Dès lors, nous sommes en présence d’une polémique globale assez désastreuse pour une cause qui devrait susciter une certaine forme de consensus. D’une part, les associations d’automobilistes contestent ouvertement ce dispositif qui tend d’après elles à privilégier la rentabilité routière à la prévention routière. Elles invitent les pouvoirs publics à privilégier la pédagogie à la répression. D’autre part, une fronde d’une rare puissante est menée par les Députés de l’UMP ce qui paraît d’ailleurs assez surprenant. Ils se font toutefois l’écho du ressenti des citoyens qu’ils rencontrent quotidiennement dans leurs circonscription. Malgré tout à l’occasion du Conseil des Ministres de ce matin, Nicolas Sarkozy s’est montré ferme en insistant sur la nécessité d’être un homme d’Etat avant d’être un homme politique.
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