Photo (c) DR
Cette rencontre a été précédée la veille d’une réunion d’experts et de Hauts fonctionnaires qui avait pour objectif de présenter aux Ministres les résultats des discussions des travaux qui ont porté sur trois thématiques adressant les principaux défis sanitaires auxquels les pays sont confrontés : le renforcement des systèmes de santé, les maladies non transmissibles et les maladies transmissibles.
Les Ministres présents ou leurs représentants ont convenu qu’il était crucial de créer, aussi bien au niveau national que régional, des conditions pour pouvoir former plus de personnel dans le secteur de la santé issu des pays du Sud de l’UpM. Ils se sont ainsi engagés à soutenir la mise en œuvre de programmes conjoints dans ce domaine, en soulignant l’importance d’échange accru de connaissance et le transfert de technologie entre les partenaires d’Euromed.
Les participants ont également évoqué le développement de stratégie visant à réduire l’impact négatif de la migration des professionnels de santé sur les pays d’émigration et à appuyer, à ce titre, la démarche entreprise par l’OMS d’élaboration d’un code de bonne pratique pour le recrutement international de professionnels de santé, qui devrait être présenté pour adoption lors de la prochaine Assemblée Mondiale de la Santé (Genève, mai 2009).
Lors de son intervention, M. CAMPANA Conseiller de Gouvernement pour les Affaires Sociales et la Santé de la Principauté de Monaco a souhaité rappeler que « Le fait que cette Conférence fasse immédiatement suite à celle qui a réuni à Marrakech, la semaine passée, les Ministres du travail sur les questions de l’employabilité, mais aussi du travail décent et donc de l’inclusion dans les systèmes de protection sociale, montre que la dimension humaine est bien au centre du projet euro-méditerranéen ».
Les représentants de l’UpM ont indiqué que pour réduire la charge liée aux maladies non transmissibles, il convient de prendre en compte les déterminants comportementaux et sociaux sous-jacents, tels que la consommation du tabac et d’alcool, les régimes alimentaires déséquilibrés. Ils ont convenus à ce titre de la nécessité d’améliorer leur coopération afin d’instaurer ou de renforcer les politiques et les projets nationaux de prévention ;
Les participants ont ensuite relevé que les pays de la zone euro-méditerranéenne, sont confrontés à la menace des mêmes maladies transmissibles et ont des besoins communs face à de tels risques. Ils ont par conséquent souligné la nécessité d’améliorer la coopération et la constitution de réseaux pour partager l’expertise et les meilleures pratiques en matière de surveillance et de contrôle des maladies transmissibles, de préférence en développant la coopération sur la base de structures et des projets existants (tels qu’EpiSouth et ShipSan), des mécanismes de détection, des foyers de maladies transmissibles et des urgences.
Les Ministres présents ou leurs représentants ont convenu qu’il était crucial de créer, aussi bien au niveau national que régional, des conditions pour pouvoir former plus de personnel dans le secteur de la santé issu des pays du Sud de l’UpM. Ils se sont ainsi engagés à soutenir la mise en œuvre de programmes conjoints dans ce domaine, en soulignant l’importance d’échange accru de connaissance et le transfert de technologie entre les partenaires d’Euromed.
Les participants ont également évoqué le développement de stratégie visant à réduire l’impact négatif de la migration des professionnels de santé sur les pays d’émigration et à appuyer, à ce titre, la démarche entreprise par l’OMS d’élaboration d’un code de bonne pratique pour le recrutement international de professionnels de santé, qui devrait être présenté pour adoption lors de la prochaine Assemblée Mondiale de la Santé (Genève, mai 2009).
Lors de son intervention, M. CAMPANA Conseiller de Gouvernement pour les Affaires Sociales et la Santé de la Principauté de Monaco a souhaité rappeler que « Le fait que cette Conférence fasse immédiatement suite à celle qui a réuni à Marrakech, la semaine passée, les Ministres du travail sur les questions de l’employabilité, mais aussi du travail décent et donc de l’inclusion dans les systèmes de protection sociale, montre que la dimension humaine est bien au centre du projet euro-méditerranéen ».
Les représentants de l’UpM ont indiqué que pour réduire la charge liée aux maladies non transmissibles, il convient de prendre en compte les déterminants comportementaux et sociaux sous-jacents, tels que la consommation du tabac et d’alcool, les régimes alimentaires déséquilibrés. Ils ont convenus à ce titre de la nécessité d’améliorer leur coopération afin d’instaurer ou de renforcer les politiques et les projets nationaux de prévention ;
Les participants ont ensuite relevé que les pays de la zone euro-méditerranéenne, sont confrontés à la menace des mêmes maladies transmissibles et ont des besoins communs face à de tels risques. Ils ont par conséquent souligné la nécessité d’améliorer la coopération et la constitution de réseaux pour partager l’expertise et les meilleures pratiques en matière de surveillance et de contrôle des maladies transmissibles, de préférence en développant la coopération sur la base de structures et des projets existants (tels qu’EpiSouth et ShipSan), des mécanismes de détection, des foyers de maladies transmissibles et des urgences.