Une semaine avant la rentrée scolaire en RDC, plusieurs responsables et promoteurs des écoles surtout privées dans le territoire d’Idjwi sillonnent les villages de ce territoire insulaire à la conquête des élèves qui doivent fréquenter leurs écoles. Ils sont en train de passer de porte à porte comme s’il s’agissait d’une campagne électorale ou de vaccination. Chacun fait tout pour convaincre à la fois les élèves et leurs parents pour qu’ils puissent venir s'inscrire dans leurs écoles. Cette démarche étonne énormément les habitants, car selon eux, "c'est du jamais vu".
Certains n’hésitent pas à diaboliser les écoles des autres au profit des leurs. Une véritable campagne d’inscription quand bien même la qualité des ces écoles tout comme celle des enseignements qu’elles dispensent reste à désirer. Le secteur éducatif étant longtemps abandonné par l’État, chaque responsable d’une école fait tout pour avoir un maximum d’élèves afin de faire face aux exigences budgétaires.
Les conditions d’admission ne sont plus de mise. Pas de concours pour tester la capacité des élèves à inscrire et les documents présentés ne sont plus strictement contrôlés. Dans ce territoire comme dans le reste du pays, à la place de l’État ces sont les parents qui prennent en charge tous les frais scolaires de leurs enfants. Plus on a un grand nombre d’élèves plus on a des revenus importants. C’est ce qui explique cette nouvelle stratégie d’inscription pour que chaque école puisse avoir en son sein un nombre plus important d’élèves. C’est la quantité qui compte et non la qualité.
Certains n’hésitent pas à diaboliser les écoles des autres au profit des leurs. Une véritable campagne d’inscription quand bien même la qualité des ces écoles tout comme celle des enseignements qu’elles dispensent reste à désirer. Le secteur éducatif étant longtemps abandonné par l’État, chaque responsable d’une école fait tout pour avoir un maximum d’élèves afin de faire face aux exigences budgétaires.
Les conditions d’admission ne sont plus de mise. Pas de concours pour tester la capacité des élèves à inscrire et les documents présentés ne sont plus strictement contrôlés. Dans ce territoire comme dans le reste du pays, à la place de l’État ces sont les parents qui prennent en charge tous les frais scolaires de leurs enfants. Plus on a un grand nombre d’élèves plus on a des revenus importants. C’est ce qui explique cette nouvelle stratégie d’inscription pour que chaque école puisse avoir en son sein un nombre plus important d’élèves. C’est la quantité qui compte et non la qualité.