Ce document rassemble des informations sur un certain nombre d'atteintes graves aux droits humains dans lesquelles sont impliquées des entreprises locales et étrangères, notamment des expulsions forcées – prohibées par le droit international – et l'imposition de conditions de travail dangereuses et constituant des formes d'exploitation.
Il accorde une attention particulière au rôle des compagnies chinoises, qui sont en passe de devenir les acteurs économiques étrangers les plus puissants et les plus influents du secteur de l'extraction minière en RDC, pays possède une partie des réserves minières les plus importantes au monde.
La Chine importe en outre de gros volumes de cobalt et de cuivre de la RDC, dont une grande partie est toujours extraite par des petits exploitants artisanaux – également appelés creuseurs – qui travaillent avec des outils manuels et dans des conditions souvent extrêmement difficiles.
"Depuis plusieurs dizaines d'années, l'exploitation minière en RDC donne lieu à des atteintes aux droits fondamentaux des mineurs artisanaux et des communautés voisines des mines. Non seulement les autorités congolaises n'ont rien fait pour empêcher les compagnies minières et les marchands de bafouer les droits fondamentaux de la personne, elles ont elles-mêmes commis des violations de ces droits afin de faciliter les opérations d'extraction", a déclaré Audrey Gaughran, directrice du programme Thématiques mondiales d'Amnesty International.
Il accorde une attention particulière au rôle des compagnies chinoises, qui sont en passe de devenir les acteurs économiques étrangers les plus puissants et les plus influents du secteur de l'extraction minière en RDC, pays possède une partie des réserves minières les plus importantes au monde.
La Chine importe en outre de gros volumes de cobalt et de cuivre de la RDC, dont une grande partie est toujours extraite par des petits exploitants artisanaux – également appelés creuseurs – qui travaillent avec des outils manuels et dans des conditions souvent extrêmement difficiles.
"Depuis plusieurs dizaines d'années, l'exploitation minière en RDC donne lieu à des atteintes aux droits fondamentaux des mineurs artisanaux et des communautés voisines des mines. Non seulement les autorités congolaises n'ont rien fait pour empêcher les compagnies minières et les marchands de bafouer les droits fondamentaux de la personne, elles ont elles-mêmes commis des violations de ces droits afin de faciliter les opérations d'extraction", a déclaré Audrey Gaughran, directrice du programme Thématiques mondiales d'Amnesty International.