La mission de l'Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) a signalé, elle-même que les autorités congolaises auraient fait échouer une tentative de contrebande, et qu'un membre de la MONUSCO serait suspecté.
Ce serait à bord d'un véhicule de l'ONU que ce suspect aurait été interpellé, entre Goma, en République démocratique du Congo et Gisenyi au Rwanda. L'employé de la MONUSCO aurait apparemment essayé de faire circuler de façon illégale, un minerai d'étain. Il aurait tenté de faire passer une tonne de cassitérite.
La mission de l'ONU a signalé dans un communiqué que "la MONUSCO a assuré les autorités nationales de sa pleine coopération. Elle apporte tout son soutien dans l'investigation en cours et a aussi de son côté, lancé sa propre enquête sur ce qui pourrait être une violation grave de son code d'éthique, de ses règles et règlements".
Pour Roger Meece, le représentant spécial du secrétaire général et chef de la MONUSCO, a insisté sur le fait "que l'exploitation illégale et la contrebande des ressources naturelles de la RDC sont des crimes graves que la MONUSCO est chargée de prévenir. Elle reste aussi engagée à soutenir tout effort dans ce sens." Il a ajouté que cette histoire ferait l'objet d'une enquête rigoureuse et que de grandes mesures seraient prises.
Affaire à suivre...
Ce serait à bord d'un véhicule de l'ONU que ce suspect aurait été interpellé, entre Goma, en République démocratique du Congo et Gisenyi au Rwanda. L'employé de la MONUSCO aurait apparemment essayé de faire circuler de façon illégale, un minerai d'étain. Il aurait tenté de faire passer une tonne de cassitérite.
La mission de l'ONU a signalé dans un communiqué que "la MONUSCO a assuré les autorités nationales de sa pleine coopération. Elle apporte tout son soutien dans l'investigation en cours et a aussi de son côté, lancé sa propre enquête sur ce qui pourrait être une violation grave de son code d'éthique, de ses règles et règlements".
Pour Roger Meece, le représentant spécial du secrétaire général et chef de la MONUSCO, a insisté sur le fait "que l'exploitation illégale et la contrebande des ressources naturelles de la RDC sont des crimes graves que la MONUSCO est chargée de prévenir. Elle reste aussi engagée à soutenir tout effort dans ce sens." Il a ajouté que cette histoire ferait l'objet d'une enquête rigoureuse et que de grandes mesures seraient prises.
Affaire à suivre...