Face aux informations récentes selon lesquelles des soldats français déployés en République centrafricaine auraient fait subir des violences sexuelles à des mineurs dont certains n’avaient pas plus de neuf ans, Amnesty International exhorte les autorités françaises et les Nations unies à traduire en justice toutes les personnes dont la responsabilité pénale serait engagée, en s’appuyant sur une enquête exhaustive, impartiale et indépendante menée dans les plus brefs délais.