Illustration. Image du domaine publique
Selon une récente enquête Elabe pour BFMTV et l’Express datant de début avril 2017, le score entre les différents candidats se resserre.
Alors qu’il ne devrait pas y avoir de troisième débat entre les candidats avant le premier tour des élections présidentielles, le candidat de La France insoumise (Fi) qui connaît depuis peu une envolée dans les sondages, peut-il encore venir perturber le sort du premier tour? Après un meeting à Châteauroux où il s’est dit "très fatigué", Jean-Luc Mélenchon a prouvé lors du second débat qu’il avait encore de l’énergie à revendre pour la dernière ligne droite. Énergie qu’il faudra pour ne pas revivre sa mauvaise surprise de 2012: annoncée par les sondages autour de 17%, il avait finalement récolté que 11,1% des voix.
À quelques semaines de l’élection, tout semble encore possible, y compris du côté de l’équipe Fillon. Dans le clan Hamon aussi on espère secrètement une remontée historique, comme nous confie Clémence Delait, une jeune militante socialiste: "Monsieur Fillon était très loin dans les sondages de la primaire de la droite, et pourtant il est là aujourd’hui. Il nous faudra faire une dernière ligne droite très convaincante pour espérer l’emporter. Le plus dur commence maintenant".
Autre inconnu pour cette élection: le taux d’abstention qui pourrait battre des records et approcher le score de 2002 de 28,4% d’abstentionnistes au premier tour.
Bien malin celui qui peut affirmer aujourd’hui avec certitude, qui sera élu(e) comme 45e président de la République française.
Alors qu’il ne devrait pas y avoir de troisième débat entre les candidats avant le premier tour des élections présidentielles, le candidat de La France insoumise (Fi) qui connaît depuis peu une envolée dans les sondages, peut-il encore venir perturber le sort du premier tour? Après un meeting à Châteauroux où il s’est dit "très fatigué", Jean-Luc Mélenchon a prouvé lors du second débat qu’il avait encore de l’énergie à revendre pour la dernière ligne droite. Énergie qu’il faudra pour ne pas revivre sa mauvaise surprise de 2012: annoncée par les sondages autour de 17%, il avait finalement récolté que 11,1% des voix.
À quelques semaines de l’élection, tout semble encore possible, y compris du côté de l’équipe Fillon. Dans le clan Hamon aussi on espère secrètement une remontée historique, comme nous confie Clémence Delait, une jeune militante socialiste: "Monsieur Fillon était très loin dans les sondages de la primaire de la droite, et pourtant il est là aujourd’hui. Il nous faudra faire une dernière ligne droite très convaincante pour espérer l’emporter. Le plus dur commence maintenant".
Autre inconnu pour cette élection: le taux d’abstention qui pourrait battre des records et approcher le score de 2002 de 28,4% d’abstentionnistes au premier tour.
Bien malin celui qui peut affirmer aujourd’hui avec certitude, qui sera élu(e) comme 45e président de la République française.