Camp de Grande-Synthe. Image du domaine public
Basroch, le camp qu’on surnommait "le camp de la honte", est en train d’être vidé de ses occupants. Cet ancien camp était composé d’une majorité de Kurdes irakiens qui vivaient dans des conditions particulièrement insalubres. Deuxième plus grand bidonville de France, après celui de la "jungle" de Calais, ce lieu était constitué de tentes fragiles qui s’agglutinaient sur un terrain inondable et boueux dans laquelle pataugeaient plus de 1500 migrants selon la préfecture du Nord.
Ce nouveau camp sera géré conjointement par l’ONG Médecins Sans Frontières et la municipalité de Grande-Synthe. Il vise à offrir aux réfugiés, des conditions de vies plus descentes. Les migrants venus de l’ancien camp sont logés dans des abris en bois (plus de 200 bungalows ont été construit à ce jour) et dans chaque quartier, sont mis à disposition des blocs sanitaires équipés de WC et de douches avec eau chaude. Des lieux de vies seront également installés par les associations.
Une solution temporaire pour les migrants. "Ce sont de petits chalets qui doivent faire entre 8 et 10m2, et dans lesquels pourront loger quatre personnes" explique Samuel Hanryon de MSF.
Quand à l’ancien camp, le site du Basroch, il est voué à la destruction.
Une fois vidé de ses occupants, ce lieu devrait devenir un éco-quartier, conformément à la promesse de l’édile EEVL aux habitants.
Ce nouveau camp sera géré conjointement par l’ONG Médecins Sans Frontières et la municipalité de Grande-Synthe. Il vise à offrir aux réfugiés, des conditions de vies plus descentes. Les migrants venus de l’ancien camp sont logés dans des abris en bois (plus de 200 bungalows ont été construit à ce jour) et dans chaque quartier, sont mis à disposition des blocs sanitaires équipés de WC et de douches avec eau chaude. Des lieux de vies seront également installés par les associations.
Une solution temporaire pour les migrants. "Ce sont de petits chalets qui doivent faire entre 8 et 10m2, et dans lesquels pourront loger quatre personnes" explique Samuel Hanryon de MSF.
Quand à l’ancien camp, le site du Basroch, il est voué à la destruction.
Une fois vidé de ses occupants, ce lieu devrait devenir un éco-quartier, conformément à la promesse de l’édile EEVL aux habitants.