Des idées de nos lecteurs
Le poisson d'avril dans le dos n'épargne personne (c) M. Cugnot
Le 1er avril, nous le savons tous est le jour des farces, plaisanteries et autres canulars.
Cette année, il est temps de vous venger! Vous pouvez compter sur les internautes pour vous épauler dans ce projet. Tour d’horizon des plaisanteries à faire entre frères et sœurs, collègues et concubins ou conjoints. Ne pas oublier que certaines administrations jouent aussi les
rigolotes.
Pour les frères et sœurs
"Si j’avais une blague à faire à mon frère: je lui ferai croire que sa PS4 est cassée et que je l’ai jeté!"
"Je ferai mordre ma sœur à l'hameçon en lui faisant croire que j'ai gagné au loto et que je lui donnerai la moitié du pactole".
"Je mettrai du film étirable sur les toilettes et remettrai la lunette en place!
Pour les concubins/conjoints
"Je dirai à mon homme que je suis enceinte avec un test de grossesse faux-positif à l’appui.
"Je ferai croire à ma petite-amie que je veux l’épouser".
"J’appellerai mon chéri complètement affolée et lui ferai croire que j’ai cassé sa voiture en voulant faire un créneau…"
Pour les collègues
L’humour au second degré ne fait pas de mal:
"Je ferai sonner mon talkie-walkie de secours au travail pour faire croire que je suis en danger et laisserai mes collègues me chercher.
" Je ferai croire à mes collègues que je suis en couple avec une fille depuis sept ans qui vient tout juste d'atteindre la majorité".
"Je collerai du scotch sous la souris du collègue de bureau pour qu’elle ne fonctionne plus".
Mais les administrations en charge de l’emploi peuvent également faire des blagues qualifiées pour certains, de mauvais goût.
Une de nos lectrices en invalidité partielle, qui occupait un métier sédentaire en relation clientèle, a reçu une offre de formation… de conducteur poids lourd!
Une autre reçoit des messages électroniques de relance pour actualiser sa situation, sous peine de suspension d’indemnités alors que son dossier n’est pas finalisée et qu’elle ne perçoit aucune ressource de leur part.
Même si les bons vieux poissons d’avril continuent d’être collés dans le dos des gens, les Français ne manquent pas d’idées.
Mais d’où vient cette coutume?
Cette année, il est temps de vous venger! Vous pouvez compter sur les internautes pour vous épauler dans ce projet. Tour d’horizon des plaisanteries à faire entre frères et sœurs, collègues et concubins ou conjoints. Ne pas oublier que certaines administrations jouent aussi les
rigolotes.
Pour les frères et sœurs
"Si j’avais une blague à faire à mon frère: je lui ferai croire que sa PS4 est cassée et que je l’ai jeté!"
"Je ferai mordre ma sœur à l'hameçon en lui faisant croire que j'ai gagné au loto et que je lui donnerai la moitié du pactole".
"Je mettrai du film étirable sur les toilettes et remettrai la lunette en place!
Pour les concubins/conjoints
"Je dirai à mon homme que je suis enceinte avec un test de grossesse faux-positif à l’appui.
"Je ferai croire à ma petite-amie que je veux l’épouser".
"J’appellerai mon chéri complètement affolée et lui ferai croire que j’ai cassé sa voiture en voulant faire un créneau…"
Pour les collègues
L’humour au second degré ne fait pas de mal:
"Je ferai sonner mon talkie-walkie de secours au travail pour faire croire que je suis en danger et laisserai mes collègues me chercher.
" Je ferai croire à mes collègues que je suis en couple avec une fille depuis sept ans qui vient tout juste d'atteindre la majorité".
"Je collerai du scotch sous la souris du collègue de bureau pour qu’elle ne fonctionne plus".
Mais les administrations en charge de l’emploi peuvent également faire des blagues qualifiées pour certains, de mauvais goût.
Une de nos lectrices en invalidité partielle, qui occupait un métier sédentaire en relation clientèle, a reçu une offre de formation… de conducteur poids lourd!
Une autre reçoit des messages électroniques de relance pour actualiser sa situation, sous peine de suspension d’indemnités alors que son dossier n’est pas finalisée et qu’elle ne perçoit aucune ressource de leur part.
Même si les bons vieux poissons d’avril continuent d’être collés dans le dos des gens, les Français ne manquent pas d’idées.
Mais d’où vient cette coutume?
Une tradition avant tout
Il existe plusieurs explications à l’origine de cette tradition mais la plus plausible serait celle-ci:
En 1564, le roi Charles IX décide de changer le début de l’année du 1er avril au 1er janvier. Ce changement a décalé l’échange des cadeaux et des étrennes. Ceci marquait alors le passage de la nouvelle année. Nombreux sont ceux qui ont du mal à s’habituer à ce changement. Pour semer le doute, certains turlupins ont continué à s’échanger des cadeaux le 1er avril.
Avec le temps, cette coutume évolue: les médias et certaines entreprises commencent à inventer de fausses nouvelles. En 1965, un journaliste danois annonce que "tous les chiens doivent être peints en blanc afin d’être vus la nuit!" Et en 2004, une célèbre marque de gâteaux fait croire qu’elle met en vente des biscuits fourrés aux brocolis.
Pourquoi des poissons?
Cela remonte au XVIe siècle. À l’époque, l’essentiel des cadeaux étaient alimentaires. Or, début avril étant dans la tradition chrétienne une époque de Carême, le poisson était plus présent que la viande, proscrite à cette période de jeûne. Maintenant, vous savez tout.
Un conseil cependant… surveillez vos arrières!
En 1564, le roi Charles IX décide de changer le début de l’année du 1er avril au 1er janvier. Ce changement a décalé l’échange des cadeaux et des étrennes. Ceci marquait alors le passage de la nouvelle année. Nombreux sont ceux qui ont du mal à s’habituer à ce changement. Pour semer le doute, certains turlupins ont continué à s’échanger des cadeaux le 1er avril.
Avec le temps, cette coutume évolue: les médias et certaines entreprises commencent à inventer de fausses nouvelles. En 1965, un journaliste danois annonce que "tous les chiens doivent être peints en blanc afin d’être vus la nuit!" Et en 2004, une célèbre marque de gâteaux fait croire qu’elle met en vente des biscuits fourrés aux brocolis.
Pourquoi des poissons?
Cela remonte au XVIe siècle. À l’époque, l’essentiel des cadeaux étaient alimentaires. Or, début avril étant dans la tradition chrétienne une époque de Carême, le poisson était plus présent que la viande, proscrite à cette période de jeûne. Maintenant, vous savez tout.
Un conseil cependant… surveillez vos arrières!