Pourquoi la fin du confinement sera-t-elle progressive ? © Pixabay
Quelles que soient les stratégies qui seront prises par le gouvernement, les spécialistes s'accordent à dire que le retour à une activité "normale" sera forcément progressif. Il faudra s’attendre à des restrictions de libertés, supportées par un certain nombre de mesures complémentaires pour protéger la population d'un retour de flamme du virus.
Le gouvernement réfléchit aujourd'hui aux modalités de mise en œuvre de la sortie du confinement. Comme le préconise le conseil scientifique, le consensus semble aujourd'hui s'établir autour d'une stratégie de dépistage à grande échelle visant à tester les personnes les plus exposées, les populations à risque, et à isoler les malades pour éviter de voir apparaitre de nouveaux foyers de contagion.
Côté sociétal, la sortie progressive du confinement risque de mettre à mal la cohésion sociale. Déjà, l’épidémie de Covid-19 accentue les inégalités entre les différentes professions : cadres, employés et ouvriers. Elle dévoile aussi toute une série de métiers parfois mal considérés, qui se révèlent indispensables voire vitaux en temps de crise : chauffeurs-livreurs, caissiers, éboueurs, et bien sûr tout le corps médical, personnels des hôpitaux, cliniques, mais aussi libéraux.
Ainsi, au-delà des modalités qui signeront la fin de la période de confinement, il faudra tirer les enseignements de cette crise qui rend cette année 2020, totalement inédite et baroque.
Le gouvernement réfléchit aujourd'hui aux modalités de mise en œuvre de la sortie du confinement. Comme le préconise le conseil scientifique, le consensus semble aujourd'hui s'établir autour d'une stratégie de dépistage à grande échelle visant à tester les personnes les plus exposées, les populations à risque, et à isoler les malades pour éviter de voir apparaitre de nouveaux foyers de contagion.
Côté sociétal, la sortie progressive du confinement risque de mettre à mal la cohésion sociale. Déjà, l’épidémie de Covid-19 accentue les inégalités entre les différentes professions : cadres, employés et ouvriers. Elle dévoile aussi toute une série de métiers parfois mal considérés, qui se révèlent indispensables voire vitaux en temps de crise : chauffeurs-livreurs, caissiers, éboueurs, et bien sûr tout le corps médical, personnels des hôpitaux, cliniques, mais aussi libéraux.
Ainsi, au-delà des modalités qui signeront la fin de la période de confinement, il faudra tirer les enseignements de cette crise qui rend cette année 2020, totalement inédite et baroque.