Martin Kuonedji, l'auteur du dossier d'investigation sur les Eglises réveillées. Photo courtoisie
Mais la parole divine il n’en avait trop connaissance car ce chrétien catholique d’origine nous fait savoir il n’a jamais mis les pieds à l’église durant son enfance.
Garçon intelligent il décroche son baccalauréat de lettres et philosophie au lycée bilingue de Deido à Douala avant de s’inscrire l’année suivante à l’université de Yaoundé II- SOA ou il commence des études de littérature négro africaine. Mais l’aventure universitaire ne va pas faire long feu et après à peine 6 mois il se retrouve assistant vendeur dans un comptoir de chaussures au marché MOKOLO à Yaoundé. Comme raison il évoque les difficultés financières qui l’ont contraint à vite abandonner ses études.
L’aventure commerciale va rapidement le conduire à Lagos au Nigeria pour le ravitaillement en marchandises et la il se découvre une vocation pastorale.
De 1975 à 1995, il aura intégré et gravit toutes les échelons au sein de la "full gospel Chapel". Devenu pasteur, il voit jaillir en lui le souci de partager la parole de Dieu avec ses frères camerounais. C’est pourquoi en décembre 1995, il revient au Cameroun avec un important projet évangélique dans ses valises: "sortir le Cameroun des griffes du diable".
Les moyens financiers ne manquent pas. Ce désormais pasteur et hommes d’affaires va rapidement construire à Bonabéri-Douala un somptueux palais de Dieu ou il abritera son "ROYAUME DES TÉMOINS DU CHRIST".
Commence alors une nouvelle aventure qui le conduira d’ailleurs à convoler en justes noces avec une jeune demoiselle de 34 ans devenue fidèle et qui lui fera trois "anges" pour reprendre son expression.
Des projets, il en a plein la tête. Aussi bien pour lui que pour le pays. Il dit ne pas s’intéresser à la politique mais n’a aucune admiration pour le chef de l’Etat. Pour lui l’Afrique est hantée par les démons de la guerre et la pauvreté et il n'y a que la prière pour la délivrer.
Côté jardin secret il dit adorer les mets camerounais sans exception aucune, passe son temps à écouter de la musique religieuse et n’a aucune considération pour la musique mondaine.
C’est un homme qui aime les voyages, les randonnées et le travail bien fait.
A la question de savoir quel à été le plus beau moment de sa vie il évoque sa rencontre avec Dieu quand il était au Nigeria et considère la décès de sa mère en 1961 comme le moment le plus triste de son existence.
Garçon intelligent il décroche son baccalauréat de lettres et philosophie au lycée bilingue de Deido à Douala avant de s’inscrire l’année suivante à l’université de Yaoundé II- SOA ou il commence des études de littérature négro africaine. Mais l’aventure universitaire ne va pas faire long feu et après à peine 6 mois il se retrouve assistant vendeur dans un comptoir de chaussures au marché MOKOLO à Yaoundé. Comme raison il évoque les difficultés financières qui l’ont contraint à vite abandonner ses études.
L’aventure commerciale va rapidement le conduire à Lagos au Nigeria pour le ravitaillement en marchandises et la il se découvre une vocation pastorale.
De 1975 à 1995, il aura intégré et gravit toutes les échelons au sein de la "full gospel Chapel". Devenu pasteur, il voit jaillir en lui le souci de partager la parole de Dieu avec ses frères camerounais. C’est pourquoi en décembre 1995, il revient au Cameroun avec un important projet évangélique dans ses valises: "sortir le Cameroun des griffes du diable".
Les moyens financiers ne manquent pas. Ce désormais pasteur et hommes d’affaires va rapidement construire à Bonabéri-Douala un somptueux palais de Dieu ou il abritera son "ROYAUME DES TÉMOINS DU CHRIST".
Commence alors une nouvelle aventure qui le conduira d’ailleurs à convoler en justes noces avec une jeune demoiselle de 34 ans devenue fidèle et qui lui fera trois "anges" pour reprendre son expression.
Des projets, il en a plein la tête. Aussi bien pour lui que pour le pays. Il dit ne pas s’intéresser à la politique mais n’a aucune admiration pour le chef de l’Etat. Pour lui l’Afrique est hantée par les démons de la guerre et la pauvreté et il n'y a que la prière pour la délivrer.
Côté jardin secret il dit adorer les mets camerounais sans exception aucune, passe son temps à écouter de la musique religieuse et n’a aucune considération pour la musique mondaine.
C’est un homme qui aime les voyages, les randonnées et le travail bien fait.
A la question de savoir quel à été le plus beau moment de sa vie il évoque sa rencontre avec Dieu quand il était au Nigeria et considère la décès de sa mère en 1961 comme le moment le plus triste de son existence.