Une entreprise à Benxi, Chine. Image du domaine public.
12,6 millions, c’est le nombre de décès dans le monde liés à la pollution en 2012 selon un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) du mardi 15 mars 2016. "Pollution de l'air, de l'eau et des sols, exposition à des substances chimiques, changement climatique et rayons UV" les causes sont multiples.
Comme souvent, ce sont les enfants et les seniors qui sont les plus exposés, leurs systèmes immunitaires étant plus fragiles. Toujours selon le rapport, c’est la pollution de l’air qui est la plus inquiétante, notamment en Asie. 8,2 millions de décès auraient en effet pu être évités.
Mais les pics de pollution de plus en plus fréquents dans la région font les beaux jours de quelques entreprises puisque le marché des masques antipollution représentait en 2015 près de 4 milliards de yuans (560 millions d’euros) en Chine, selon la presse officielle. La pollution de l’air est donc le combat prioritaire de l’OMS qui préconise de s’attaquer urgemment à l’air intérieur, notamment en Afrique et en Asie.
Plus généralement, l’OMS recommande des mesures simples comme réduire l’utilisation de produits chimiques en changeant notre mode de consommation, développer les transports en commun, réduire les émissions de carbone ou encore optimiser le réseau sanitaire. Note positive néanmoins, le taux de décès par maladies infectieuses est à la baisse grâce à une "nette amélioration des moyens d’assainissement et d’accès à l’eau potable" dans les pays pauvres.
Comme souvent, ce sont les enfants et les seniors qui sont les plus exposés, leurs systèmes immunitaires étant plus fragiles. Toujours selon le rapport, c’est la pollution de l’air qui est la plus inquiétante, notamment en Asie. 8,2 millions de décès auraient en effet pu être évités.
Mais les pics de pollution de plus en plus fréquents dans la région font les beaux jours de quelques entreprises puisque le marché des masques antipollution représentait en 2015 près de 4 milliards de yuans (560 millions d’euros) en Chine, selon la presse officielle. La pollution de l’air est donc le combat prioritaire de l’OMS qui préconise de s’attaquer urgemment à l’air intérieur, notamment en Afrique et en Asie.
Plus généralement, l’OMS recommande des mesures simples comme réduire l’utilisation de produits chimiques en changeant notre mode de consommation, développer les transports en commun, réduire les émissions de carbone ou encore optimiser le réseau sanitaire. Note positive néanmoins, le taux de décès par maladies infectieuses est à la baisse grâce à une "nette amélioration des moyens d’assainissement et d’accès à l’eau potable" dans les pays pauvres.