(c) C. Goldsmith
Pour les ONG, l’Église orthodoxe est en cause, elle empêcherait les campagnes de prévention. La contamination chez la population toxicomane reste la plus importante. Les transmissions par voie sexuelle sont en augmentation de 41%.
De son côté, la rédaction du mensuel autrichien "Vangardist" a décidé de publier tout son numéro du mois de mai avec de l’encre infectée par le virus afin de dénoncer la stigmatisation des malades. "This magazine has been printed with the blood of HIV+", c'est ce qui est inscrit en lettres rouges sur la couverture blanche de la revue. Dans son éditorial, le directeur de la rédaction avertit le lecteur qu'avec ce numéro en main, il est en contact avec le virus comme il ne l’a jamais été. Le journal a fait appel à trois donneurs au parcours différent, un jeune homosexuel berlinois, une femme contaminée par son mari, un hétérosexuel infecté récemment. L’encre utilisée a été mélangée à leur sang. Mais il faut se hâter de préciser que le liquide a été pasteurisé afin d'être rendu inoffensif. La revue a tiré à 3.000 exemplaires.
De son côté, la rédaction du mensuel autrichien "Vangardist" a décidé de publier tout son numéro du mois de mai avec de l’encre infectée par le virus afin de dénoncer la stigmatisation des malades. "This magazine has been printed with the blood of HIV+", c'est ce qui est inscrit en lettres rouges sur la couverture blanche de la revue. Dans son éditorial, le directeur de la rédaction avertit le lecteur qu'avec ce numéro en main, il est en contact avec le virus comme il ne l’a jamais été. Le journal a fait appel à trois donneurs au parcours différent, un jeune homosexuel berlinois, une femme contaminée par son mari, un hétérosexuel infecté récemment. L’encre utilisée a été mélangée à leur sang. Mais il faut se hâter de préciser que le liquide a été pasteurisé afin d'être rendu inoffensif. La revue a tiré à 3.000 exemplaires.