Illustration. Image du domaine public.
"Nous pouvons tous faire quelque chose pour la planète", c’est le slogan de ce moteur de recherche novateur, qui permet aux internautes d’agir en faveur de l’environnement, sans fournir le moindre effort.
Google est actuellement le géant du net: on recense environ 3,5 milliards de recherches par jour. Avec Ecosia, grâce aux revenus générés par les publicités lors de chaque recherche, cette organisation s’engage à reverser 80% du profit à ses partenaires, "WeForest" et "PurProjet", qui œuvrent pour la plantation d’arbres dans des zones asséchées ou désertiques.
Ce projet, crée en 2009, a été initié par son actuel PDG Christian Koll qui, après avoir effectué un tour du monde, a pris conscience des enjeux de la reforestation. Désormais, l’association a pour ambition de planter 1 milliard d’arbres à travers le monde d’ici 2020 et de transformer une partie du Sahel en forêt.
Ce moteur de recherche éco-responsable a notamment contribué à la reforestation de l'Amazone au Brésil. Depuis 2015, Ecosia développe un second programme au Burkina Faso. Ces projets permettent aussi de créer de nouveaux emplois dans ces pays en développement. Mais ils contribuent surtout à relancer le cycle de l’eau et à lutter contre l’avancée des déserts.
Ecosia a ainsi participé au projet de la "Grande Muraille verte d’Afrique" développé par l’Union Africaine, qui prévoit la plantation d’arbres sur 7.600 kilomètres, de l’Éthiopie jusqu’à la Mauritanie, pour freiner l’avancée du Sahara.
Si les internautes ont encore des doutes sur la transparence de l’association, le site publie régulièrement des cartes interactives, afin de situer dans quelles zones du monde ont eu lieu les plantations, ainsi que des relevés des dons. Enfin, les utilisateurs peuvent suivre l’évolution de leur contribution: un onglet à côté de la barre de recherche indique le nombre d’arbres "plantés" en fonction du nombre de "clics" de l’internaute.
Gratuit et facile d’utilisation, Ecosia s’inscrit dans la logique du revirement environnemental du XXIe siècle et illustre les innovations possibles, qui permettront peut-être de résoudre les impératifs écologiques de demain.
Google est actuellement le géant du net: on recense environ 3,5 milliards de recherches par jour. Avec Ecosia, grâce aux revenus générés par les publicités lors de chaque recherche, cette organisation s’engage à reverser 80% du profit à ses partenaires, "WeForest" et "PurProjet", qui œuvrent pour la plantation d’arbres dans des zones asséchées ou désertiques.
Ce projet, crée en 2009, a été initié par son actuel PDG Christian Koll qui, après avoir effectué un tour du monde, a pris conscience des enjeux de la reforestation. Désormais, l’association a pour ambition de planter 1 milliard d’arbres à travers le monde d’ici 2020 et de transformer une partie du Sahel en forêt.
Ce moteur de recherche éco-responsable a notamment contribué à la reforestation de l'Amazone au Brésil. Depuis 2015, Ecosia développe un second programme au Burkina Faso. Ces projets permettent aussi de créer de nouveaux emplois dans ces pays en développement. Mais ils contribuent surtout à relancer le cycle de l’eau et à lutter contre l’avancée des déserts.
Ecosia a ainsi participé au projet de la "Grande Muraille verte d’Afrique" développé par l’Union Africaine, qui prévoit la plantation d’arbres sur 7.600 kilomètres, de l’Éthiopie jusqu’à la Mauritanie, pour freiner l’avancée du Sahara.
Si les internautes ont encore des doutes sur la transparence de l’association, le site publie régulièrement des cartes interactives, afin de situer dans quelles zones du monde ont eu lieu les plantations, ainsi que des relevés des dons. Enfin, les utilisateurs peuvent suivre l’évolution de leur contribution: un onglet à côté de la barre de recherche indique le nombre d’arbres "plantés" en fonction du nombre de "clics" de l’internaute.
Gratuit et facile d’utilisation, Ecosia s’inscrit dans la logique du revirement environnemental du XXIe siècle et illustre les innovations possibles, qui permettront peut-être de résoudre les impératifs écologiques de demain.