Interview
Photo (C) Manal Abdallah
J’ai commencé mes études de musique à 16 ans après avoir débuté avec le piano à la maison quand j’ai eu mes 12 ans, disait Manal qui jouait sur son instrument la musique des chansons de Feyrouz dans le temps sans une connaissance des notes musicales. Elle se rappelle toujours de son premier jour au conservatoire national. J’ai couru à la maison pour répéter. C’était comme un rêve.
La musique a parrainé son diplôme de master en langue anglaise. Manal a su l’utiliser en tant qu’instrument dans l’enseignement de l’anglais comme deuxième langue. S’était peut être pour dire qu’elle ne peut pas vivre dans un endroit où il n’y a pas suffisamment de musique. Manal parait suffoquer lorsque les questions ont changé de foyer.
Podcast Journal (PJ): Vous comptez faire un doctorat en langue anglaise?
Manal Abdallah (MA): Oui.
PJ: Avez-vous planifié pour vos études supérieures alors?
MA: Pour faire mon doctorat (pause) il nous faut une expérience de 3 ans dans l’enseignement. (Pause) J’ai eu cette expérience et donc… je pourrais opter pour un diplôme… de doctorat.
PJ: Vous paraissez mal à l’aise maintenant que vous êtes entrain de parler des études.
MA: Mais je suis contente à chaque fois que j’aille à Beyrouth pour mes cours de viola!
PJ: Et le doctorat?
MA: Ce que je vis maintenant est très spécial et je ne veux surtout pas le rater!
Ce que Manal a évoqué n’est qu’un exemple de la souffrance des musiciens au Liban – un tel métier n’est certainement pas une façon de gagner sa vie dans le pays qui pousse ses citoyens à avoir plusieurs emplois sans lesquels la survie serait impossible surtout que le gouvernement n’assure aucun bénéfice aux artistes.
Manal enseigne dans une école de musique et donne des leçons privées. Elle rêve devenir une musicienne qui joue dans un orchestre. Aurait-elle la possibilité de poursuivre ses aspirations, ou bien devrait-elle rester dans une double vie avec une jouissance intercalée et inachevable? Seul le temps pourrait nous répondre…
La musique a parrainé son diplôme de master en langue anglaise. Manal a su l’utiliser en tant qu’instrument dans l’enseignement de l’anglais comme deuxième langue. S’était peut être pour dire qu’elle ne peut pas vivre dans un endroit où il n’y a pas suffisamment de musique. Manal parait suffoquer lorsque les questions ont changé de foyer.
Podcast Journal (PJ): Vous comptez faire un doctorat en langue anglaise?
Manal Abdallah (MA): Oui.
PJ: Avez-vous planifié pour vos études supérieures alors?
MA: Pour faire mon doctorat (pause) il nous faut une expérience de 3 ans dans l’enseignement. (Pause) J’ai eu cette expérience et donc… je pourrais opter pour un diplôme… de doctorat.
PJ: Vous paraissez mal à l’aise maintenant que vous êtes entrain de parler des études.
MA: Mais je suis contente à chaque fois que j’aille à Beyrouth pour mes cours de viola!
PJ: Et le doctorat?
MA: Ce que je vis maintenant est très spécial et je ne veux surtout pas le rater!
Ce que Manal a évoqué n’est qu’un exemple de la souffrance des musiciens au Liban – un tel métier n’est certainement pas une façon de gagner sa vie dans le pays qui pousse ses citoyens à avoir plusieurs emplois sans lesquels la survie serait impossible surtout que le gouvernement n’assure aucun bénéfice aux artistes.
Manal enseigne dans une école de musique et donne des leçons privées. Elle rêve devenir une musicienne qui joue dans un orchestre. Aurait-elle la possibilité de poursuivre ses aspirations, ou bien devrait-elle rester dans une double vie avec une jouissance intercalée et inachevable? Seul le temps pourrait nous répondre…