Photo (c) Climate Alliance Org
Dans son discours prononcé devant le sommet de Marrakech, l’Émir du Koweït, Cheikh Sabah Al Ahmad Al Jaber Al Sabah, a indiqué que son pays était en train de finaliser les procédures constitutionnelles pour ratifier l'accord de Paris contre le réchauffement planétaire. Il s’est engagé à soutenir les Nations Unies sur ce dossier, en rappelant que le Koweït avait participé aux négociations en application de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques et à la Conférence de Paris de 2015 sur le climat.
L’Émir a souhaité que les disparités entre pays développés et pays en développement soient prises en compte pour partager le "fardeau" de la mise en œuvre de l’accord, notamment pour les pays dont les revenus dépendent du pétrole. Il a mentionné les efforts du Koweït pour réformer son industrie pétrolière, réduire ses émissions de gaz à effet de serre et développer les énergies renouvelables.
Néanmoins, l'indice de performance environnementale (IPE) du Koweït reste faible. Cet indice a été créé par des chercheurs des universités américaines Yale et Columbia pour évaluer, comparer et améliorer l'efficacité des politiques environnementales de 180 pays. L'émirat occupe la 113e place mondiale.
L’Émir a souhaité que les disparités entre pays développés et pays en développement soient prises en compte pour partager le "fardeau" de la mise en œuvre de l’accord, notamment pour les pays dont les revenus dépendent du pétrole. Il a mentionné les efforts du Koweït pour réformer son industrie pétrolière, réduire ses émissions de gaz à effet de serre et développer les énergies renouvelables.
Néanmoins, l'indice de performance environnementale (IPE) du Koweït reste faible. Cet indice a été créé par des chercheurs des universités américaines Yale et Columbia pour évaluer, comparer et améliorer l'efficacité des politiques environnementales de 180 pays. L'émirat occupe la 113e place mondiale.