Paris sous les déchets ©Pinterest
La réforme des retraites fait rage depuis plusieurs mois. Après les avocats, les pompiers et les cheminots, c'est au tour des éboueurs et agents de traitement des déchets de faire pression.
Impacté par cette réforme qui vise à abandonner la reconnaissance de la pénibilité de leur métier, ils se sont fait entendre en bloquant des camions de ramassage et les incinérateurs utilisés pour récolter la majorité des déchets de la ville.
Chaque jour, ce sont 1000 tonnes de déchets abandonnés sur les trottoirs parisiens. Des milliers de sacs poubelles empêchent les habitants de sortir de chez eux, ce qui n'est pas le cas pour les rats puisqu'il suffit d'une seule minute pour observer ces rongeurs dévorer les restes.
Avec l'odeur par-dessus, de nombreux touristes et professionnels ont montrés leur colère, car les monuments et les quartiers touristiques n'ont pas été épargnés.
Le 4 février, au regard de l'ampleur de cette grève, la préfecture a autorisé la réquisition de personnel pour ramasser un maximum les déchets. Cependant, les incinérateurs sont restés fermés et une solution a dû être trouvée rapidement. Les tonnes de déchets de Paris se sont donc retrouvées sous terre... en Seine et Marne au centre d'enfouissement de Claye-Souilly.
En plus de l'accumulation des déchets qu'a provoqué cette grève, celle-ci a impacté la production d'énergie verte permettant à 300 000 foyers parisiens d'êtres chauffés chaque jour.
Le taux de gréviste a diminué de jour en jour jusqu'à voir cette grève s'arrêtée complètement avec une reprise du ramassage des poubelles 10 jours après le début du mouvement.
Si les éboueurs ont repris leur travail, ils maintiennent leur position et réclament le maintien de leurs conditions anticipées de départ à la retraite cinq ans avant la date légale, en raison de la pénibilité de leur métier et de leur espérance de vie, 7 ans inférieurs à la moyenne.
Impacté par cette réforme qui vise à abandonner la reconnaissance de la pénibilité de leur métier, ils se sont fait entendre en bloquant des camions de ramassage et les incinérateurs utilisés pour récolter la majorité des déchets de la ville.
Chaque jour, ce sont 1000 tonnes de déchets abandonnés sur les trottoirs parisiens. Des milliers de sacs poubelles empêchent les habitants de sortir de chez eux, ce qui n'est pas le cas pour les rats puisqu'il suffit d'une seule minute pour observer ces rongeurs dévorer les restes.
Avec l'odeur par-dessus, de nombreux touristes et professionnels ont montrés leur colère, car les monuments et les quartiers touristiques n'ont pas été épargnés.
Le 4 février, au regard de l'ampleur de cette grève, la préfecture a autorisé la réquisition de personnel pour ramasser un maximum les déchets. Cependant, les incinérateurs sont restés fermés et une solution a dû être trouvée rapidement. Les tonnes de déchets de Paris se sont donc retrouvées sous terre... en Seine et Marne au centre d'enfouissement de Claye-Souilly.
En plus de l'accumulation des déchets qu'a provoqué cette grève, celle-ci a impacté la production d'énergie verte permettant à 300 000 foyers parisiens d'êtres chauffés chaque jour.
Le taux de gréviste a diminué de jour en jour jusqu'à voir cette grève s'arrêtée complètement avec une reprise du ramassage des poubelles 10 jours après le début du mouvement.
Si les éboueurs ont repris leur travail, ils maintiennent leur position et réclament le maintien de leurs conditions anticipées de départ à la retraite cinq ans avant la date légale, en raison de la pénibilité de leur métier et de leur espérance de vie, 7 ans inférieurs à la moyenne.