"C’est une grande victoire pour cette communauté et une reconnaissance du courage avec lequel elle a mené sa lutte. L’expropriation permettra de mettre fin aux violations des droits humains que les Sawhoyamaxas ont subies ces 20 dernières années", a dit María José Eva, chercheuse d’Amnesty International sur le Paraguay.
Cette décision permet d’avancer vers l’exécution de l’arrêt prononcé en 2006 par la Cour inter-américaine des droits de l’homme, aux termes duquel l’État paraguayen devait restituer leurs terres traditionnelles aux Sawhoyamaxas.
Cette décision permet d’avancer vers l’exécution de l’arrêt prononcé en 2006 par la Cour inter-américaine des droits de l’homme, aux termes duquel l’État paraguayen devait restituer leurs terres traditionnelles aux Sawhoyamaxas.