Celle qui nous oblige à regarder, et constater, d'un autre œil la lutte contre le dopage dans les sports de haut niveau. Si en cyclisme, nous assistons à du grand n'importe quoi, on ne peut pas en dire autant du côté de l'anneau de quatre cents mètres, où les tricheurs se font "débarquer" avec toute la sévérité qu'ils méritent.
Et c'est tant mieux pour le sport. Depuis des années, nous demandons (dans les colonnes de Cyclisme Revue) qu'il soit fait front à ce fléau, mais pas uniquement pour la presse, une réelle lutte antidopage qui se donne les moyens, afin de combattre à jeu égal. Malheureusement, l'affaire Lance Amstrong démontra à souhait toute l'incapacité des instances de l'UCI (Union Cycliste Internationale), réagissant avec 15 ans de retard. Dans le cas qui nous occupe, les championnats du monde de Moscou, on peut franchement écrire que la rapidité des "expulsions" est de mise.
En effet, les récents contrôles au sein de la formation jamaïcaine, notamment, donnèrent l'occasion de voir en piste des athlètes moins connus, mais plus seins, du moins jusque preuve de contraire. Mais au delà de ceci, certains personnages 'douteux" (suite au passeport biologique...) se voient invités à une prise de sang, à même posé le pied sur terre russe, à la descente de l'avion. Si ce test s'avère "hors normes", la personne ne reçoit pas son dossard, et est "gentiment" proposée à la case retour maison, sans toutefois passer par la prison...
En cyclisme, par contre, il existe une grande différence entre les pratiques des uns et des autres. Les sponsors et manufacturiers s'emploient à donner aux coureurs tout le matériel "adaptés" au fil des étapes. C'est ainsi qu'un cyclistes - quel qu'il soit - se voyant crédité de la première place d'un classement, reçoit le lendemain matin un vélo aux couleurs de sa distinction. Lorsque l'on sait que ces bicyclettes se construisent au millimètre... Donc, vélo, maillot, cuissard, gants, casques, bidons, et nous en passons, se confectionnent dans la nuit, et sont acheminés sur l'étape du jour. Belle prouesse de rapidité. Quant aux contrôles, même si ces derniers s'effectuent juste après l'arrivée (et encore sur certains coureurs, et pas sur tout le peloton!), les résultats mettent des mois pour arriver. Il ne faudrait tout de même pas éliminer la moitié de la meute au troisième jour d'un Grand Tour.
Et c'est tant mieux pour le sport. Depuis des années, nous demandons (dans les colonnes de Cyclisme Revue) qu'il soit fait front à ce fléau, mais pas uniquement pour la presse, une réelle lutte antidopage qui se donne les moyens, afin de combattre à jeu égal. Malheureusement, l'affaire Lance Amstrong démontra à souhait toute l'incapacité des instances de l'UCI (Union Cycliste Internationale), réagissant avec 15 ans de retard. Dans le cas qui nous occupe, les championnats du monde de Moscou, on peut franchement écrire que la rapidité des "expulsions" est de mise.
En effet, les récents contrôles au sein de la formation jamaïcaine, notamment, donnèrent l'occasion de voir en piste des athlètes moins connus, mais plus seins, du moins jusque preuve de contraire. Mais au delà de ceci, certains personnages 'douteux" (suite au passeport biologique...) se voient invités à une prise de sang, à même posé le pied sur terre russe, à la descente de l'avion. Si ce test s'avère "hors normes", la personne ne reçoit pas son dossard, et est "gentiment" proposée à la case retour maison, sans toutefois passer par la prison...
En cyclisme, par contre, il existe une grande différence entre les pratiques des uns et des autres. Les sponsors et manufacturiers s'emploient à donner aux coureurs tout le matériel "adaptés" au fil des étapes. C'est ainsi qu'un cyclistes - quel qu'il soit - se voyant crédité de la première place d'un classement, reçoit le lendemain matin un vélo aux couleurs de sa distinction. Lorsque l'on sait que ces bicyclettes se construisent au millimètre... Donc, vélo, maillot, cuissard, gants, casques, bidons, et nous en passons, se confectionnent dans la nuit, et sont acheminés sur l'étape du jour. Belle prouesse de rapidité. Quant aux contrôles, même si ces derniers s'effectuent juste après l'arrivée (et encore sur certains coureurs, et pas sur tout le peloton!), les résultats mettent des mois pour arriver. Il ne faudrait tout de même pas éliminer la moitié de la meute au troisième jour d'un Grand Tour.
Si on veut arrêter le dopage, il faut s'en donner les moyens, tous les moyens. Et ce n'est pas une question d'argent qui doit venir contrer cette volonté. La Grande Boucle brasse des millions d'euros, ASO confirme d'année en année être une des plus grandes entreprises d'Europe, et se dit vouloir enrayer ce phénomène, mais fait preuve d'une certaine fébrilité, se retranchant derrière les instances de l'UCI, ou de l'AMA (Agence Mondiale Antidopage), et son pendant français. Pendant ce temps, on apprend que Bradley Wiggings, vainqueur du Tour 2012, annonce qu'il n'a plus d'ambition sur un grand tour, et se mettra à disposition de ces coéquipiers (comme Chris Frome...) dorénavant. Bien tient!
Il serait d'ailleurs bon d'aller voir également dans d'autres disciplines où l'argent, ce nerf de la guerre, prend le pas sur les individus et leur santé. Sans vouloir accuser, le tennis, la F1, et surtout le foot devraient faire un peu le ménage devant leurs portes, et débusquer les tricheurs.
Si l'IAAF (Association Internationale des Fédérations d'Athlétisme) mit du temps pour exiger des contrôles, on doit reconnaître son implication avérée dans ces Championnat du Monde de Moscou, même si tout ne peut être parfait. D'ailleurs, la perfection n'existe que dans les livres.
Il serait d'ailleurs bon d'aller voir également dans d'autres disciplines où l'argent, ce nerf de la guerre, prend le pas sur les individus et leur santé. Sans vouloir accuser, le tennis, la F1, et surtout le foot devraient faire un peu le ménage devant leurs portes, et débusquer les tricheurs.
Si l'IAAF (Association Internationale des Fédérations d'Athlétisme) mit du temps pour exiger des contrôles, on doit reconnaître son implication avérée dans ces Championnat du Monde de Moscou, même si tout ne peut être parfait. D'ailleurs, la perfection n'existe que dans les livres.