Mais tout d'abord, souvenons-nous. En Belgique, depuis la loi sur le Pacte Scolaire, du 29 mai 1959, définissant les grandes lignes su système éducatif, tout en le rendant obligatoire entre 6 et 18 ans (de 2 ans et demi à 6, non-obligatoire), bien des choses ont changé. Tout comme la vie, du reste. Fondamentalement, on ne traite plus les matières de la même manière qu'en ces temps "héroïques", où Monsieur l'Instituteur représentait le savoir et était respecté, au même titre que le curé et le bourgmestre. Tout fout le camps, diront certains. Mais non, seulement une autre perception de la vie, de l'être humain, des biens. A l'heure actuelle, il nous faut bien reconnaître les rythmes infernaux d'une vie en perpétuelle mutation, technique ou affective.
De nombreux esprits stigmatisent l'apport à outrance des nouvelles technologies pour assurer l'apprentissage de nos "petits". Pour d'autres, sans pour cela être ringards et revenir aux ardoises, estiment qu'il faut poursuivre dans une éducation de base en profondeur, en accordant du crédit aux "sciences" partiellement, si pas totalement, oubliées. Il est vrai de constater que la plupart des jeunes, en 2013, ne savent plus écrire leur langue maternelle sans faute, ne connaissent pas leur histoire, et encore moins la géographie. Crime de lèse-majesté pour nos "instits" d'antan. Mais voilà, la vie tourne, et peut-être pas dans le bon sens.
De nombreux esprits stigmatisent l'apport à outrance des nouvelles technologies pour assurer l'apprentissage de nos "petits". Pour d'autres, sans pour cela être ringards et revenir aux ardoises, estiment qu'il faut poursuivre dans une éducation de base en profondeur, en accordant du crédit aux "sciences" partiellement, si pas totalement, oubliées. Il est vrai de constater que la plupart des jeunes, en 2013, ne savent plus écrire leur langue maternelle sans faute, ne connaissent pas leur histoire, et encore moins la géographie. Crime de lèse-majesté pour nos "instits" d'antan. Mais voilà, la vie tourne, et peut-être pas dans le bon sens.
Certains établissements préconisent, le mot est faible, l'utilisation de tablettes dans le primaire. Dont acte. Certes, l'évolution va dans ce sens. D'ailleurs, nos bons "vieux" ordinateurs de bureau font œuvre de reliques, nos laptops disparaissent eux aussi, au profit des tablettes de toutes tailles. Donc, il va de soi qu'enseigner ces nouvelles technologies, et surtout leur manipulation doit prendre place également à l'école. Mais où nous ne sommes pas forcement d'accord c'est d'éliminer, au fur et à mesure, tout le reste, comme l'écriture et le calcul mental. Les pouvoirs politique et organisateurs devraient sans doute, aussi, y réfléchir. Sans doute que cela semble être une autre priorité.