Illustration. Image du domaine public.
Le texte, qui était en discussion depuis presque deux ans entre le gouvernement, les professionnels et les associations de protection animale, vient remplacer une législation obsolète de 1981. Il constitue une étape importante dans la reconnaissance et l’évolution du bien-être des cétacés en captivité. Nicolas Hulot, porte-parole des associations, affirmait sur Twitter fin avril 2017: "Notre civilisation ne devrait plus tolérer la captivité des dauphins. Il est temps d’en finir avec les delphinariums".
La nouvelle règlementation prévoit un agrandissement de 150% de la taille des bassins afin de "permettre aux animaux de se soustraire à tout moment à la vue du public", et la mise en place d’équipes de soigneurs spécialisés. Les produits chlorés sont interdits, ainsi que les activités jugées stressantes, comme l’échouage des animaux, les spectacles nocturnes et les contacts directs avec le public.
La reproduction des orques et des dauphins en captivité est également interdite, signant à terme la fin des delphinariums. Les établissements ont six mois pour appliquer ces règles, et trois ans pour mettre en conformité leurs bassins. Face à l’ampleur des investissements, le risque de fermeture des delphinariums n’est pas nul. Se pose alors la question délicate du devenir des animaux et de leur potentielle réintroduction dans leur milieu naturel.
La nouvelle règlementation prévoit un agrandissement de 150% de la taille des bassins afin de "permettre aux animaux de se soustraire à tout moment à la vue du public", et la mise en place d’équipes de soigneurs spécialisés. Les produits chlorés sont interdits, ainsi que les activités jugées stressantes, comme l’échouage des animaux, les spectacles nocturnes et les contacts directs avec le public.
La reproduction des orques et des dauphins en captivité est également interdite, signant à terme la fin des delphinariums. Les établissements ont six mois pour appliquer ces règles, et trois ans pour mettre en conformité leurs bassins. Face à l’ampleur des investissements, le risque de fermeture des delphinariums n’est pas nul. Se pose alors la question délicate du devenir des animaux et de leur potentielle réintroduction dans leur milieu naturel.