Cet homme doit être transféré vers la capitale Mascate pour une audience. La police n’a pas tenu compte des avis médicaux, selon lesquels il n’est pas en état de voyager.
"Les autorités d’Oman mettent en danger la santé et la vie du militant Saeed Jaddad, qui n’aurait jamais dû être traduit en justice. Plutôt que de l’exposer à d’autres risques en le transférant de Salalah à Mascate pour une audience, il faut libérer Saeed Jaddad immédiatement et sans condition", a déclaré Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
Un médecin de l’hôpital de Salalah a recommandé le 25 janvier que Saeed Jaddad ne soit pas remis aux mains de la police pour être transféré à Mascate, en raison de ses problèmes de santé. Un deuxième médecin, nommé par les services de police, a examiné Saeed Jaddad. Il a conclu que son état de santé actuel ne lui permettait pas de prendre l’avion. Cependant, la police n’a pas pris en compte ces avis médicaux et a transféré Saeed Jaddad lundi 26 janvier au siège de Salalah, en vue de l’envoyer par avion à Mascate.
Saeed Jaddad observe une grève de la faim depuis qu’il a de nouveau été interpellé le 21 janvier. Il refuse aussi tout liquide. Il souffre d’un problème cardiaque depuis longtemps, mais refuse de prendre des médicaments pour protester contre sa détention.
"Les autorités d’Oman mettent en danger la santé et la vie du militant Saeed Jaddad, qui n’aurait jamais dû être traduit en justice. Plutôt que de l’exposer à d’autres risques en le transférant de Salalah à Mascate pour une audience, il faut libérer Saeed Jaddad immédiatement et sans condition", a déclaré Philip Luther, directeur du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
Un médecin de l’hôpital de Salalah a recommandé le 25 janvier que Saeed Jaddad ne soit pas remis aux mains de la police pour être transféré à Mascate, en raison de ses problèmes de santé. Un deuxième médecin, nommé par les services de police, a examiné Saeed Jaddad. Il a conclu que son état de santé actuel ne lui permettait pas de prendre l’avion. Cependant, la police n’a pas pris en compte ces avis médicaux et a transféré Saeed Jaddad lundi 26 janvier au siège de Salalah, en vue de l’envoyer par avion à Mascate.
Saeed Jaddad observe une grève de la faim depuis qu’il a de nouveau été interpellé le 21 janvier. Il refuse aussi tout liquide. Il souffre d’un problème cardiaque depuis longtemps, mais refuse de prendre des médicaments pour protester contre sa détention.