Il a qualifié cette étape de "cruciale", estimant qu'elle ouvrait la voie à la formation d'un gouvernement qui va "façonner l'avenir du pays pour les quatre prochaines années".
Ad Melkert a également appelé les dirigeants des partis politiques iraquiens à "aller de l'avant" et à travailler ensemble pour que le futur gouvernement soit représentatif des principales tendances de la société iraquienne. Dans cette perspective, il a souhaité la convocation au plus vite du nouveau Conseil des représentants.
Le 25 mai, lors de la présentation au Conseil de sécurité du Rapport du Secrétaire général de l';ONU sur la situation en Iraq, Ad Melkert avait estimé que la tenue de ces élections montrait un "rejet ferme de la violence par une vaste majorité d'Iraquiens". Il avait également salué l'attitude des responsables politiques qui "partagent tous" l'idée selon laquelle "il n'y a pas d'alternatives au respect des principes constitutionnels pour changer de gouvernement".
Sur la formation du nouveau gouvernement, la Mission des Nations unies en Iraq (MANUI) encourageait déjà les partis politiques vainqueurs à se rencontrer et à trouver un accord fondé sur trois principes : formation d'un gouvernement de coalition incluant tous les partis vainqueurs, partage du pouvoir et des responsabilités au sein de ce gouvernement, accord sur le délai imparti au processus de formation de ce gouvernement.
"La démocratie, ce n'est pas nécessairement une distinction entre une majorité au gouvernement et une minorité dans l'opposition. A ce stade, l'Iraq serait probablement mieux servi par un gouvernement largement inclusif, en rupture radicale avec l'exclusion ou la privation des droits électoraux que beaucoup de communautés du pays ont expérimenté dans le passé".
Ad Melkert a également appelé les dirigeants des partis politiques iraquiens à "aller de l'avant" et à travailler ensemble pour que le futur gouvernement soit représentatif des principales tendances de la société iraquienne. Dans cette perspective, il a souhaité la convocation au plus vite du nouveau Conseil des représentants.
Le 25 mai, lors de la présentation au Conseil de sécurité du Rapport du Secrétaire général de l';ONU sur la situation en Iraq, Ad Melkert avait estimé que la tenue de ces élections montrait un "rejet ferme de la violence par une vaste majorité d'Iraquiens". Il avait également salué l'attitude des responsables politiques qui "partagent tous" l'idée selon laquelle "il n'y a pas d'alternatives au respect des principes constitutionnels pour changer de gouvernement".
Sur la formation du nouveau gouvernement, la Mission des Nations unies en Iraq (MANUI) encourageait déjà les partis politiques vainqueurs à se rencontrer et à trouver un accord fondé sur trois principes : formation d'un gouvernement de coalition incluant tous les partis vainqueurs, partage du pouvoir et des responsabilités au sein de ce gouvernement, accord sur le délai imparti au processus de formation de ce gouvernement.
"La démocratie, ce n'est pas nécessairement une distinction entre une majorité au gouvernement et une minorité dans l'opposition. A ce stade, l'Iraq serait probablement mieux servi par un gouvernement largement inclusif, en rupture radicale avec l'exclusion ou la privation des droits électoraux que beaucoup de communautés du pays ont expérimenté dans le passé".