En France, plus de 50% des fumeurs déclarent vouloir se sevrer, Photo (c) Gino Crescoli
Inciter les fumeurs à stopper leur consommation pendant 30 jours. C’est l’objectif de la campagne du "Moi(s) sans tabac" et cette durée n’a pas été choisie au hasard puisqu’elle multiplie par cinq les chances d’arrêter définitivement!
Ce sevrage est un réel enjeu de santé publique, la France comptant plus de 13 millions de fumeurs quotidiens et le tabac étant la première cause de mortalité évitable. Responsable de plus de 73.000 décès par an, c’est le premier facteur de risque de cancer (poumon, voies aérodigestives supérieures et vessie notamment), mais il est également impliqué dans les maladies cardiovasculaires, l’insuffisance respiratoire, les menaces d’accouchement prématuré…
Le "Moi(s) sans tabac" permet d’ouvrir le dialogue: expliquer les risques encourus par les fumeurs mais aussi les bénéfices de l’arrêt, les économies effectuées et les moyens de se faire accompagner. De l’homéopathie à l’acupuncture, en passant par l’hypnose ou les substituts nicotiniques, à chacun sa méthode. Il est prouvé qu’un fumeur soutenu, notamment par un professionnel de santé, optimise ses chances de réussite de sevrage!
La nouvelle stratégie nationale de santé, présentée par le gouvernement en mars 2018, a d’ailleurs mis en place une mesure pour renforcer la lutte contre le tabac. Un certain nombre de substituts nicotiniques sont désormais remboursés par la sécurité sociale, dispensant les patients de l’avance de frais. Une avancée qui tombe à pic pour le mois de novembre!
Ce sevrage est un réel enjeu de santé publique, la France comptant plus de 13 millions de fumeurs quotidiens et le tabac étant la première cause de mortalité évitable. Responsable de plus de 73.000 décès par an, c’est le premier facteur de risque de cancer (poumon, voies aérodigestives supérieures et vessie notamment), mais il est également impliqué dans les maladies cardiovasculaires, l’insuffisance respiratoire, les menaces d’accouchement prématuré…
Le "Moi(s) sans tabac" permet d’ouvrir le dialogue: expliquer les risques encourus par les fumeurs mais aussi les bénéfices de l’arrêt, les économies effectuées et les moyens de se faire accompagner. De l’homéopathie à l’acupuncture, en passant par l’hypnose ou les substituts nicotiniques, à chacun sa méthode. Il est prouvé qu’un fumeur soutenu, notamment par un professionnel de santé, optimise ses chances de réussite de sevrage!
La nouvelle stratégie nationale de santé, présentée par le gouvernement en mars 2018, a d’ailleurs mis en place une mesure pour renforcer la lutte contre le tabac. Un certain nombre de substituts nicotiniques sont désormais remboursés par la sécurité sociale, dispensant les patients de l’avance de frais. Une avancée qui tombe à pic pour le mois de novembre!