Cela en dit long sur l’attitude désinvolte de la police face à la torture et sur l’impunité quasiment totale qui entoure cette pratique.
Pour marquer cet anniversaire, Amnesty International a produit une courte vidéo satirique, "Torture: More fun in the Philippines", inspirée d’un jeu télévisé populaire. Un participant lance la "roue de la torture" pour essayer d’obtenir un avocat mais il "gagne" à la place le droit d’être roué de coups de poing pendant 30 secondes. Le titre de la vidéo est ironique: "t’s more fun in the Philippines (C’est plus sympa aux Philippines)" est le slogan touristique du pays.
"Le fait que des policiers aient torturé des détenus pour s’amuser est parfaitement abject. Mais le pire, c’est qu’ils n’ont pas été inquiétés. La culture de l’impunité qui entoure la torture aux Philippines doit cesser. La torture n’a rien d’amusant, même si aux Philippines des policiers ont essayé d’en faire un jeu. Nous espérons que notre court-métrage fera à la fois réfléchir les gens sur les comportements face à la torture et les poussera à passer à l’action pour mettre un terme à cette pratique odieuse", a déclaré Hazel Galang, spécialiste des Philippines au sein d’Amnesty International.
Pour marquer cet anniversaire, Amnesty International a produit une courte vidéo satirique, "Torture: More fun in the Philippines", inspirée d’un jeu télévisé populaire. Un participant lance la "roue de la torture" pour essayer d’obtenir un avocat mais il "gagne" à la place le droit d’être roué de coups de poing pendant 30 secondes. Le titre de la vidéo est ironique: "t’s more fun in the Philippines (C’est plus sympa aux Philippines)" est le slogan touristique du pays.
"Le fait que des policiers aient torturé des détenus pour s’amuser est parfaitement abject. Mais le pire, c’est qu’ils n’ont pas été inquiétés. La culture de l’impunité qui entoure la torture aux Philippines doit cesser. La torture n’a rien d’amusant, même si aux Philippines des policiers ont essayé d’en faire un jeu. Nous espérons que notre court-métrage fera à la fois réfléchir les gens sur les comportements face à la torture et les poussera à passer à l’action pour mettre un terme à cette pratique odieuse", a déclaré Hazel Galang, spécialiste des Philippines au sein d’Amnesty International.