Ce nouveau test, se présentant sous la forme d’un bâtonnet, viendra confirmer et préciser le résultat obtenu par un premier contrôle salivaire ayant mis en évidence la présence d’une substance illicite dans l’organisme du conducteur contrôlé.
La loi française impose en effet aux forces de l’ordre de procéder à deux tests pour valider un contrôle positif aux stupéfiants. Le second test se faisait jusqu’à présent au moyen d’une analyse sanguine réalisée en centre hospitalier et impliquait donc des moyens humains et financiers importants. La mise en œuvre de ce nouveau "deuxième test salivaire" - qui, lui, pourra être réalisé par les forces de l’ordre – viendra faciliter le travail de prévention de la police et de la gendarmerie et leur permettra de pratiquer davantage de dépistages.
L’association 40 millions d’automobilistes rappelle que la conduite sous l’emprise de stupéfiants constitue le facteur principal d’accidentalité dans 4% des cas. Des traces de stupéfiants ont été mises en évidence dans 21% des accidents mortels de la route en 2013.
La loi française impose en effet aux forces de l’ordre de procéder à deux tests pour valider un contrôle positif aux stupéfiants. Le second test se faisait jusqu’à présent au moyen d’une analyse sanguine réalisée en centre hospitalier et impliquait donc des moyens humains et financiers importants. La mise en œuvre de ce nouveau "deuxième test salivaire" - qui, lui, pourra être réalisé par les forces de l’ordre – viendra faciliter le travail de prévention de la police et de la gendarmerie et leur permettra de pratiquer davantage de dépistages.
L’association 40 millions d’automobilistes rappelle que la conduite sous l’emprise de stupéfiants constitue le facteur principal d’accidentalité dans 4% des cas. Des traces de stupéfiants ont été mises en évidence dans 21% des accidents mortels de la route en 2013.