On peut se plaindre de ne vivre que des épreuves, au risque de se trouver dans une spirale négative parce qu’on ne se concentre que sur des échecs.
Ou alors, on peut aussi considérer que les épreuves sont les plus belles opportunités de grandir, de se renforcer, d’affiner sa personnalité.
Le succès n’est pas le fruit de chance ou de hasard, mais d’attitude face aux événements de la vie et de ce qu’on en fait ! Ceux qui connaissent la réussite sont les personnes qui visent la réussite. Une fois dans cet état d’esprit, vous allez utiliser vos ressources pour cette réussite, vous allez faire preuve de nouvelles créativités, de nouvelles idées,…
On peut alors se poser la question si les gens positifs ne connaissent pas l’échec.
Bien sûr que oui. Celui qui vous dira le contraire n’est pas très crédible. En revanche, ils ont développé (je dis bien développer, ce qui veut dire que nous pouvons tous apprendre à l’être !) une capacité étrange de se concentrer sur leur objectif et sur ce qu’il peut tirer de ce résultat.
Une personne positive ne considère pas l’échec comme une finalité, mais comme un résultat comme un autre qui le pousse à considérer qu’il faut essayer différemment. Il se concentre sur ce qui est possible.
Pour eux, le vent fort n’est qu’une opportunité d’apprendre à s’y prendre différemment et à se construire une forte « colonne vertébrale » émotionnelle. Cela ne veut pas dire qu’ils sont endurcis ou aigris. Si c’est le cas, ils ne sont peut être pas si positifs qu’ils ne le pensent.
L’espérance d’un résultat et d’atteinte d’un objectif entraine le courage, qui entraine de l’énergie qui entraine des actions.
Observez la photo ci-dessus.
Si je vous demande s’il est possible de dissocier ces cuillers, vous me répondrez très probablement : « oui, bien sûr ».
Et c’est vrai parce que vous avez la vision que c’est possible en tirant la cuiller de droite vers la gauche. D’autres répondront qu’il suffit de tirer la cuiller trouée vers la droite. Deux réponses différentes, deux visions différentes, mais deux résultats identiques.
Néanmoins, il y aura toujours des personnes qui, spontanément diront : « ce n’est pas possible ! C’est un casse-tête chinois ? » ou « il est où le piège ? » Et dans d’autres cas, ils tireront inlassablement les cuillers dans le mauvais sens, obstinément et toujours de la même façon et alors s’arrêter là en disant : « tu vois, c’est impossible, je savais que je n'en étais pas capable ! » sans considérer qu’il y a peut-être une solution à laquelle ils n’ont pas pensé.
Cherchez la signification de cette métaphore…
Finalement, réfléchissez un instant aux 3 ou 4 plus grands échecs de vie.
Quels étaient-ils ?
Si, si, osez, pensez-y, marquez un temps d'arrêt avant de continuer à lire. Évoquez-les vous un instant !
Maintenant que vous vous les avez remémorés, n’ont-elles, finalement pas été les plus grandes leçons de votre vie ? Sans elles, vous ne seriez pas la même personne aujourd’hui avec vos perceptions, émotions et vision.
Acceptons que le vent fasse de nous de robustes arbres : cherchons l’excellence et continuons !
Considérez un instant que l’échec n’existe pas.
Comment prendriez-vous vos décisions ? Ne seraient-elles pas différentes ?
Non, ne cherchez pas à énumérer des raisons qui vous feront (peut-être) échouer ! Si vous pensez à l'échec, c'est ce qui arrivera à coup sûr !
Quel serait votre processus de pensées et modèle de croyances si l’échec n’existait vraiment pas ! Comment réagiriez-vous ? Est-ce que la réponse serait différente à toutes les précédentes ?
Eh bien, tentez l’expérience de suivre votre cœur qui vient de vous donner une nouvelle réponse !
L’échec n’existe pas !
Ou alors, on peut aussi considérer que les épreuves sont les plus belles opportunités de grandir, de se renforcer, d’affiner sa personnalité.
Le succès n’est pas le fruit de chance ou de hasard, mais d’attitude face aux événements de la vie et de ce qu’on en fait ! Ceux qui connaissent la réussite sont les personnes qui visent la réussite. Une fois dans cet état d’esprit, vous allez utiliser vos ressources pour cette réussite, vous allez faire preuve de nouvelles créativités, de nouvelles idées,…
On peut alors se poser la question si les gens positifs ne connaissent pas l’échec.
Bien sûr que oui. Celui qui vous dira le contraire n’est pas très crédible. En revanche, ils ont développé (je dis bien développer, ce qui veut dire que nous pouvons tous apprendre à l’être !) une capacité étrange de se concentrer sur leur objectif et sur ce qu’il peut tirer de ce résultat.
Une personne positive ne considère pas l’échec comme une finalité, mais comme un résultat comme un autre qui le pousse à considérer qu’il faut essayer différemment. Il se concentre sur ce qui est possible.
Pour eux, le vent fort n’est qu’une opportunité d’apprendre à s’y prendre différemment et à se construire une forte « colonne vertébrale » émotionnelle. Cela ne veut pas dire qu’ils sont endurcis ou aigris. Si c’est le cas, ils ne sont peut être pas si positifs qu’ils ne le pensent.
L’espérance d’un résultat et d’atteinte d’un objectif entraine le courage, qui entraine de l’énergie qui entraine des actions.
Observez la photo ci-dessus.
Si je vous demande s’il est possible de dissocier ces cuillers, vous me répondrez très probablement : « oui, bien sûr ».
Et c’est vrai parce que vous avez la vision que c’est possible en tirant la cuiller de droite vers la gauche. D’autres répondront qu’il suffit de tirer la cuiller trouée vers la droite. Deux réponses différentes, deux visions différentes, mais deux résultats identiques.
Néanmoins, il y aura toujours des personnes qui, spontanément diront : « ce n’est pas possible ! C’est un casse-tête chinois ? » ou « il est où le piège ? » Et dans d’autres cas, ils tireront inlassablement les cuillers dans le mauvais sens, obstinément et toujours de la même façon et alors s’arrêter là en disant : « tu vois, c’est impossible, je savais que je n'en étais pas capable ! » sans considérer qu’il y a peut-être une solution à laquelle ils n’ont pas pensé.
Cherchez la signification de cette métaphore…
Finalement, réfléchissez un instant aux 3 ou 4 plus grands échecs de vie.
Quels étaient-ils ?
Si, si, osez, pensez-y, marquez un temps d'arrêt avant de continuer à lire. Évoquez-les vous un instant !
Maintenant que vous vous les avez remémorés, n’ont-elles, finalement pas été les plus grandes leçons de votre vie ? Sans elles, vous ne seriez pas la même personne aujourd’hui avec vos perceptions, émotions et vision.
Acceptons que le vent fasse de nous de robustes arbres : cherchons l’excellence et continuons !
Considérez un instant que l’échec n’existe pas.
Comment prendriez-vous vos décisions ? Ne seraient-elles pas différentes ?
Non, ne cherchez pas à énumérer des raisons qui vous feront (peut-être) échouer ! Si vous pensez à l'échec, c'est ce qui arrivera à coup sûr !
Quel serait votre processus de pensées et modèle de croyances si l’échec n’existait vraiment pas ! Comment réagiriez-vous ? Est-ce que la réponse serait différente à toutes les précédentes ?
Eh bien, tentez l’expérience de suivre votre cœur qui vient de vous donner une nouvelle réponse !
L’échec n’existe pas !