Ce rapport intitulé "Deadly journeys: The refugee and trafficking crisis in Southeast Asia" se fonde sur des entretiens menés avec plus de 100 réfugiés rohingyas - pour la plupart des victimes de la traite des personnes et parmi eux de nombreux enfants - qui ont atteint l'Indonésie après avoir fui le Myanmar ou le Bangladesh en traversant la mer d'Andaman.
La mousson étant terminée, la "saison de navigation" redémarre et des milliers d'autres personnes pourraient fuir par bateau. Amnesty International exhorte les gouvernements de la région à renforcer leur réponse à cette crise.
"Il est difficile de mettre des mots sur les violences endurées par les Rohingyas bloqués sur des bateaux dans le golfe du Bengale et la mer d'Andaman. Fuyant les persécutions au Myanmar, ils sont retombés dans un autre cauchemar. Les enfants ne sont pas épargnés par ces violences", a déclaré Anna Shea, chercheuse sur les réfugiés à Amnesty International.
La mousson étant terminée, la "saison de navigation" redémarre et des milliers d'autres personnes pourraient fuir par bateau. Amnesty International exhorte les gouvernements de la région à renforcer leur réponse à cette crise.
"Il est difficile de mettre des mots sur les violences endurées par les Rohingyas bloqués sur des bateaux dans le golfe du Bengale et la mer d'Andaman. Fuyant les persécutions au Myanmar, ils sont retombés dans un autre cauchemar. Les enfants ne sont pas épargnés par ces violences", a déclaré Anna Shea, chercheuse sur les réfugiés à Amnesty International.