Les consommateurs européens, notamment français, craignent que le projet européen de régulation actuellement en discussion ne rende le paiement par carte plus onéreux et plus compliqué. 7 consommateurs français sur 10 considèrent que les propositions de plafonnement des commissions interbancaires ou commissions d’interchange auraient un impact négatif sur leur utilisation des cartes de paiement, et plus de 8 personnes sur 10 pensent que les commerçants ne répercuteraient pas les économies réalisées sur les prix.
Selon les résultats de l’enquête, en France, 73 % des personnes interrogées (65 % en Europe) craignent qu’un plafonnement rigide des commissions d’interchange ne soit pas dans leur intérêt lorsqu’ils payent par carte. Ils sont encore plus nombreux (84 % en France et 82 % en Europe) à estimer que les commerçants ne répercuteraient pas sur leurs prix les économies réalisées.
L’étude montre également que les consommateurs désapprouvent particulièrement toute nouvelle régulation qui permettrait aux commerçants de sélectionner librement les cartes bancaires qu’ils acceptent ou non. Imposer des restrictions sur la règle d’acceptation de toutes les cartes dite "Honor All Cards Rule" priverait les consommateurs de l’avantage principal pour lequel ils utilisent leur carte: la certitude de pouvoir l’utiliser partout dans le monde, où qu’ils aillent. En France, 8 consommateurs sur 10 (77 % en Europe) pensent qu’il serait plus compliqué pour les consommateurs d’utiliser leurs cartes de paiement. De la même manière, 66 % considèrent que l’autorisation d’apposer plusieurs logos sur la même carte aurait un impact négatif sur les consommateurs.
MasterCard, par la voix de son Directeur Général France, Régis Folbaum, a précisé pour sa part que "toute nouvelle législation relative aux paiements électroniques devrait être conçue dans l’intérêt des titulaires de cartes. Nous avons commandé cette enquête car nous craignons qu’imposer un plafonnement des taux d’interchange augmente artificiellement le prix des cartes bancaires et ne place pas l’ensemble des acteurs sur un pied d’égalité. Les résultats de l’enquête montrent qu’en France et en Europe, les consommateurs partagent ces doutes et pensent également que ce projet de législation n’est pas dans leur intérêt".
* Environ 1000 personnes ont participé pays par pays via le service en ligne d’Ipsos, dans les pays suivants: Croatie, République Tchèque, Finlande, France, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Slovaquie, Espagne et Suède. La précision des sondages en ligne d’Ipsos est mesurée à l’aide d’un intervalle de crédibilité. Pour cette enquête, le sondage d’environ 1000 personnes est précis à 3,5% près. Les personnes interrogées ont reçu des informations sur le taux d’interchange avant de répondre.
Selon les résultats de l’enquête, en France, 73 % des personnes interrogées (65 % en Europe) craignent qu’un plafonnement rigide des commissions d’interchange ne soit pas dans leur intérêt lorsqu’ils payent par carte. Ils sont encore plus nombreux (84 % en France et 82 % en Europe) à estimer que les commerçants ne répercuteraient pas sur leurs prix les économies réalisées.
L’étude montre également que les consommateurs désapprouvent particulièrement toute nouvelle régulation qui permettrait aux commerçants de sélectionner librement les cartes bancaires qu’ils acceptent ou non. Imposer des restrictions sur la règle d’acceptation de toutes les cartes dite "Honor All Cards Rule" priverait les consommateurs de l’avantage principal pour lequel ils utilisent leur carte: la certitude de pouvoir l’utiliser partout dans le monde, où qu’ils aillent. En France, 8 consommateurs sur 10 (77 % en Europe) pensent qu’il serait plus compliqué pour les consommateurs d’utiliser leurs cartes de paiement. De la même manière, 66 % considèrent que l’autorisation d’apposer plusieurs logos sur la même carte aurait un impact négatif sur les consommateurs.
MasterCard, par la voix de son Directeur Général France, Régis Folbaum, a précisé pour sa part que "toute nouvelle législation relative aux paiements électroniques devrait être conçue dans l’intérêt des titulaires de cartes. Nous avons commandé cette enquête car nous craignons qu’imposer un plafonnement des taux d’interchange augmente artificiellement le prix des cartes bancaires et ne place pas l’ensemble des acteurs sur un pied d’égalité. Les résultats de l’enquête montrent qu’en France et en Europe, les consommateurs partagent ces doutes et pensent également que ce projet de législation n’est pas dans leur intérêt".
* Environ 1000 personnes ont participé pays par pays via le service en ligne d’Ipsos, dans les pays suivants: Croatie, République Tchèque, Finlande, France, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Slovaquie, Espagne et Suède. La précision des sondages en ligne d’Ipsos est mesurée à l’aide d’un intervalle de crédibilité. Pour cette enquête, le sondage d’environ 1000 personnes est précis à 3,5% près. Les personnes interrogées ont reçu des informations sur le taux d’interchange avant de répondre.