Chemin des migrants dans les Hautes-Alpes. Photo (c) PR
S'ils ne sont pas les premières victimes des frontières françaises, ils alertent sur des dangers de plus en plus présents lesquels sont directement liés à une politique de contrôle des frontières, pourtant manifestement inefficace.
En 2017, plus de 3.000 personnes sont mortes en tentant de traverser la Méditerranée. A Calais, plusieurs dizaines ont déjà péri sur la route vers l'Angleterre. Récemment, une petite fille kurde de 2 ans était tuée par balle par un policier belge.
"La frontière tue" n'est pas un simple slogan, c'est une vérité de plus en plus urgente à comprendre. Il y a ceux qui meurent par la difficulté de la route, ceux qui meurent en fuyant les autorités, ceux qui sont assassinés par des passeurs. Les situations varient mais la cause reste la même: le manque de moyens sécurisés de voyager pour demander l'asile dans un pays.
En 2017, plus de 3.000 personnes sont mortes en tentant de traverser la Méditerranée. A Calais, plusieurs dizaines ont déjà péri sur la route vers l'Angleterre. Récemment, une petite fille kurde de 2 ans était tuée par balle par un policier belge.
"La frontière tue" n'est pas un simple slogan, c'est une vérité de plus en plus urgente à comprendre. Il y a ceux qui meurent par la difficulté de la route, ceux qui meurent en fuyant les autorités, ceux qui sont assassinés par des passeurs. Les situations varient mais la cause reste la même: le manque de moyens sécurisés de voyager pour demander l'asile dans un pays.