Le retour des personnages cultes: Kevina, Mikeline, Toufik, ...
Pour son quatrième One Man Show, Elie présente un spectacle plus intime et personnel. Ce “Merki”, il le doit à son public, ceux qui l’ont aidé à faire ce métier. Il y fait vivre des personnages qu’il affectionne particulièrement comme Kevina, qui cette fois surf sur MSN dans un concours de mythomanie avec beaugosse69, ou Papy Pétou dont le sonotone capte les appels téléphoniques.
C’est au cours d’une audition qu’il fait passer à ses anciens personnages que réapparaissent Mikeline, la dame pipi et son célèbre “Merki”, Toufik le banlieusard en stage jeune emploi depuis 15 ans, ou Georges André Gaillard le comique lourdingue.
Avec ce spectacle très inédit, Elie n’a jamais eu autant de succès, poussant son art du mimétisme jusqu’au bout. Il est un caméléon et pourtant il n’y a rien de plus personnel que ce qu’il joue là, les thèmes sont aussi noirs, les personnages pathétiques et seuls en quête d’amour, le rire est grinçant et ce n’est pas simplement drôle au premier degré. Il y a une humanité qui transparait et qui n’échappe jamais au public, qui en redemande.
C’est au cours d’une audition qu’il fait passer à ses anciens personnages que réapparaissent Mikeline, la dame pipi et son célèbre “Merki”, Toufik le banlieusard en stage jeune emploi depuis 15 ans, ou Georges André Gaillard le comique lourdingue.
Avec ce spectacle très inédit, Elie n’a jamais eu autant de succès, poussant son art du mimétisme jusqu’au bout. Il est un caméléon et pourtant il n’y a rien de plus personnel que ce qu’il joue là, les thèmes sont aussi noirs, les personnages pathétiques et seuls en quête d’amour, le rire est grinçant et ce n’est pas simplement drôle au premier degré. Il y a une humanité qui transparait et qui n’échappe jamais au public, qui en redemande.
Un spectacle de nouveautés
Un clin d’œil à ses personnages fétiches devenus célèbres. Tous recalés, Elie tourne la page et nous présente une nouvelle palette de personnages comme Colette, la coiffeuse-chanteuse à bout de nerfs, Jean-Louis dit Batman, le roi de la cambriole s’inspirant de Ocean’s Eleven et de Prison Break ou encore Louis Fignon, “le chanteur à texte” auteur d’un chef d’œuvre : “La Bamboula”…
Elie aborde également un sujet qui l’a toujours beaucoup inspiré, les relations hommes / femmes.
Il endosse le rôle du mari cocu, celui d’une femme harcelée par son ex ou encore d’un avocat spécialisé dans les divorces.
Avec ce spectacle très inédit, Elie n’a jamais eu autant de succès, poussant son art du mimétisme jusqu’au bout. Il est un caméléon et pourtant il n’y a rien de plus personnel que ce qu’il joue là, les thèmes sont aussi noirs, les personnages pathétiques et seuls en quête d’amour, le rire est grinçant et ce n’est pas simplement drôle au premier degré. Il y a une humanité qui transparait et qui n’échappe jamais au public, qui en redemande.
Elie aborde également un sujet qui l’a toujours beaucoup inspiré, les relations hommes / femmes.
Il endosse le rôle du mari cocu, celui d’une femme harcelée par son ex ou encore d’un avocat spécialisé dans les divorces.
Avec ce spectacle très inédit, Elie n’a jamais eu autant de succès, poussant son art du mimétisme jusqu’au bout. Il est un caméléon et pourtant il n’y a rien de plus personnel que ce qu’il joue là, les thèmes sont aussi noirs, les personnages pathétiques et seuls en quête d’amour, le rire est grinçant et ce n’est pas simplement drôle au premier degré. Il y a une humanité qui transparait et qui n’échappe jamais au public, qui en redemande.