Photo de gauche: manifestation en Finlande devant l'Ambassade du Japon (2011) - Photo de droite: Affiche du film de Luc Besson "The Cove: la baie de la honte"
Pays de contraste, entre culture futuriste et respect des traditions, le Japon se classe pourtant comme le pays au monde qui dépense le plus pour ses animaux de compagnie. Nombre de Japonais mettent également en péril leur vie pour sauver les bêtes laissées sur place après la catastrophe de Fukushima. Alors que les animaux semblent parfois compter plus pour le peuple nippon que la personne elle-même, comment les pêcheurs du Pays du Soleil levant peuvent-ils perpétrer, et la population cautionner, chaque année une véritable tuerie dans leurs eaux, et ce, au nom de la tradition?
Dans une majorité de pays occidentaux, les manifestations se sont enchainées contre ces massacres depuis vendredi. Les instances diplomatiques américaines et britanniques ont exprimé elles aussi leur vive réprobation concernant de tels agissements.
Sur son compte Twitter, Caroline Kennedy, ambassadrice des États-Unis au Japon, s'est dite "profondément préoccupée par l'inhumanité" de cette coutume.
En 2009, le film "The Cove: la baie de la honte", de Richard O’Barry et produit par Luc Besson, avait sensibilisé le public à ces attaques de dauphins. La presse avait également vivement réagi. Mais l’événement perdure année après année… comme si rien ne pouvait l’arrêter, toujours aussi sanglant.
Dans une majorité de pays occidentaux, les manifestations se sont enchainées contre ces massacres depuis vendredi. Les instances diplomatiques américaines et britanniques ont exprimé elles aussi leur vive réprobation concernant de tels agissements.
Sur son compte Twitter, Caroline Kennedy, ambassadrice des États-Unis au Japon, s'est dite "profondément préoccupée par l'inhumanité" de cette coutume.
En 2009, le film "The Cove: la baie de la honte", de Richard O’Barry et produit par Luc Besson, avait sensibilisé le public à ces attaques de dauphins. La presse avait également vivement réagi. Mais l’événement perdure année après année… comme si rien ne pouvait l’arrêter, toujours aussi sanglant.