Mémorandum Maroc et Chine. Illustration du domaine public.
Mehdi Qotbi, président du FNM, et Zhang Zikang, directeur de l’Académie de Chine, ont signé le document en présence du président de cette institution, Fan Di’an. Dans cet entretien, le trio a abordé les différents moyens pour amorcer une coopération productive, touchant une variété de missions dans le domaine de l’art et de la culture. Les deux parties ont chacune exposé leur contribution dans le spectre culturel propre à leur pays respectif, pour enfin débattre sur les actions concrètes destinées à promouvoir l’art marocain en Chine, et l’art chinois au Maroc. Dans ce sens, plusieurs expositions consacrées à l’héritage artistique moderne et contemporain du Royaume sont prévues à Pékin, en 2021. En contrepartie, un événement de la même nature sera arrangé l’année suivante, au Maroc.
Mehdi Qotbi s’est également entretenu avec le président de la Fondation chinoise pour la conservation du patrimoine, Li Xiajie, accompagné de l’ambassadeur du Royaume, Aziz Mekouar, à Pékin. Il était question de la conservation et de la restauration de la poterie ancienne, notamment à l’Institut national de la poterie, inaugurée il y a quelque peu à Safi, par la Fondation National des Musées.
Ce mémorandum ne vient qu’asseoir une vision de longue date, concrétisée en 2011 par la création de la FNM. La culture marocaine est riche, abritant en son sein des empreintes arabo-islamiques, amazighes, saharo-hassanie, africaines, andalouses, hébraïques et méditerranéenne. Cette abondante fusion fait de la civilisation marocaine une perle rare. Conservation, protection, démocratisation, restauration, enrichissement, rayonnement… Là sont les objectifs de la Fondation. Grâce à l’amélioration de la gouvernance et l’organisation des musées, grâce aux ressources financières par les dons et le mécénat, grâce au renforcement des compétences des différents acteurs de la muséologie, les partenariats s’enchaînent, du Musée de Picasso permettant la rétrospective à succès "Face à Picasso" en 2017 à Rabat, au Musée du Louvre, en passant par les musées Pouchkine et l’Ermitage en Russie (pour ne citer qu’eux). Les résultats sont probants: formation muséologique, transfert de compétence, prêts d’œuvres, projet d’organisation d’exposition à l’échelle international et national, etc.
La culture marocaine en est reconnaissante.
Mehdi Qotbi s’est également entretenu avec le président de la Fondation chinoise pour la conservation du patrimoine, Li Xiajie, accompagné de l’ambassadeur du Royaume, Aziz Mekouar, à Pékin. Il était question de la conservation et de la restauration de la poterie ancienne, notamment à l’Institut national de la poterie, inaugurée il y a quelque peu à Safi, par la Fondation National des Musées.
Ce mémorandum ne vient qu’asseoir une vision de longue date, concrétisée en 2011 par la création de la FNM. La culture marocaine est riche, abritant en son sein des empreintes arabo-islamiques, amazighes, saharo-hassanie, africaines, andalouses, hébraïques et méditerranéenne. Cette abondante fusion fait de la civilisation marocaine une perle rare. Conservation, protection, démocratisation, restauration, enrichissement, rayonnement… Là sont les objectifs de la Fondation. Grâce à l’amélioration de la gouvernance et l’organisation des musées, grâce aux ressources financières par les dons et le mécénat, grâce au renforcement des compétences des différents acteurs de la muséologie, les partenariats s’enchaînent, du Musée de Picasso permettant la rétrospective à succès "Face à Picasso" en 2017 à Rabat, au Musée du Louvre, en passant par les musées Pouchkine et l’Ermitage en Russie (pour ne citer qu’eux). Les résultats sont probants: formation muséologique, transfert de compétence, prêts d’œuvres, projet d’organisation d’exposition à l’échelle international et national, etc.
La culture marocaine en est reconnaissante.