Il a été établi que 12 personnes ont perdu la vie depuis janvier 2013 alors qu’elles se trouvaient sous la responsabilité de la police, contre neuf pour l’année 2012 toute entière.
"Le nombre croissant de morts en détention est choquant, et envoie un message effrayant à toutes les personnes susceptibles d’être arrêtées par la police. Ces chiffres attirent l’attention sur l’absence de mécanismes permettant de prévenir de tels décès et d’effectuer un suivi de ces cas", a expliqué Hazel Galang, spécialiste de la Malaisie à Amnesty International. "Il faut que les autorités malaisiennes consacrent du temps et des ressources à la résolution immédiate de ce problème. Elles doivent veiller à ce que des garanties soient en place afin que la police ne puisse pas simplement continuer à commettre des abus, notamment des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements, en toute impunité."
D’après le Parlement malaisien, plus de 230 morts en détention ont été enregistrées depuis 2000.
"Le nombre croissant de morts en détention est choquant, et envoie un message effrayant à toutes les personnes susceptibles d’être arrêtées par la police. Ces chiffres attirent l’attention sur l’absence de mécanismes permettant de prévenir de tels décès et d’effectuer un suivi de ces cas", a expliqué Hazel Galang, spécialiste de la Malaisie à Amnesty International. "Il faut que les autorités malaisiennes consacrent du temps et des ressources à la résolution immédiate de ce problème. Elles doivent veiller à ce que des garanties soient en place afin que la police ne puisse pas simplement continuer à commettre des abus, notamment des actes de torture et d’autres formes de mauvais traitements, en toute impunité."
D’après le Parlement malaisien, plus de 230 morts en détention ont été enregistrées depuis 2000.