Libye (c) François Munier
C'est dans les villes de Wazin, de Nalut, de Jadu et de Zintan que l'équipe s'est rendue.
"La situation humanitaire dans les Montagnes de Nafoussa reste une source de grande préoccupation. Il reste impératif pour les organisations humanitaires d'avoir un accès continu aux montagnes de Nafoussa pour mener des missions d'évaluation en profondeur afin de déterminer avec exactitude et impartialité les besoins des populations affectées et de pouvoir y répondre", a expliqué, Panos Moumtzis, le coordinateur humanitaire pour la Libye.
Selon le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR), plus de 100.000 personnes auraient fui les combats dans les montagnes de Nafoussa depuis le début des révoltes, quatre mois en arrière. Se sont essentiellement "des déplacés internes, alors que plus de 64 000 personnes de la région sont désormais réfugiées en Tunisie".
D'aoprès le communiqué, les membres de la mission auraient constaté un accès limité à l'eau et à l'électricité notamment à Nalut et dans d'autres zones des montagnes de Nafoussa.
Les chefs de la communauté locale se seraient également interrogés sur "la réduction rapide des stocks de nourriture, le peu d'argent liquide et l'absence d'emplois", selon la mission qui était composée des représentants du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) et du Programme alimentaire mondial (PAM).
Cette mission était donc indispensable pour venir en aide à la population libyenne.
"La situation humanitaire dans les Montagnes de Nafoussa reste une source de grande préoccupation. Il reste impératif pour les organisations humanitaires d'avoir un accès continu aux montagnes de Nafoussa pour mener des missions d'évaluation en profondeur afin de déterminer avec exactitude et impartialité les besoins des populations affectées et de pouvoir y répondre", a expliqué, Panos Moumtzis, le coordinateur humanitaire pour la Libye.
Selon le Haut Commissariat pour les réfugiés (HCR), plus de 100.000 personnes auraient fui les combats dans les montagnes de Nafoussa depuis le début des révoltes, quatre mois en arrière. Se sont essentiellement "des déplacés internes, alors que plus de 64 000 personnes de la région sont désormais réfugiées en Tunisie".
D'aoprès le communiqué, les membres de la mission auraient constaté un accès limité à l'eau et à l'électricité notamment à Nalut et dans d'autres zones des montagnes de Nafoussa.
Les chefs de la communauté locale se seraient également interrogés sur "la réduction rapide des stocks de nourriture, le peu d'argent liquide et l'absence d'emplois", selon la mission qui était composée des représentants du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA), du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), du Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) et du Programme alimentaire mondial (PAM).
Cette mission était donc indispensable pour venir en aide à la population libyenne.